mardi 11 décembre 2012

chaudronnier




Que fait-il ?

A partir de plans, schémas ou gabarit le chaudronnier découpe les feuilles de métal.
Ensuite il emploie diverses techniques : débit, pliage, roulage, cisaillage, martelage, emboutissage, cintrage, perçage… pour mettre en forme les pièces en feuilles ou en profilé (barre ou tube ayant une forme en 3 dimensions).
Vient enfin le montage et l'assemblage des pièces par soudage, pointage ou rivetage.
Les outils utilisés sont de plus en plus sophistiqués et souvent réglés par commandes numériques.

Où exerce-t-il ?

Les entreprises de construction aéronautique : avionneurs, motoristes, équipementiers recherchent des chaudronniers. Mais le travail des métaux concerne aussi d’autres secteurs comme l’automobile, la mécanique, la construction navale, la métallurgie, le bâtiment (construction d'ouvrages métalliques), l’armement...

Dans quelles conditions ?

Les ateliers sont souvent vastes et le travail s’effectue debout dans un environnement souvent bruyant et parfois poussiéreux.
Le métier de chaudronnier est physique et exige le respect des règles de sécurité et le port de vêtements de protection (gants, casque antibruit...).
Selon l'organisation de l'entreprise, les horaires de travail peuvent être normaux ou postés (2x8, 3x8) et en fin de semaine.

Qualités requises

Le métier demande de la robustesse, de l’habileté manuelle ainsi que le goût pour le travail en équipe.
De solides connaissances en géométrie et trigonométrie, associées à une bonne perception des formes et du volume sont indispensables.

Compétences

Connaître les techniques complexes de transformation des matériaux métalliques légers (aluminium, nickel, titane, inox, etc…)
Analyser un dossier technique (plan détaillé, instructions de travail)
Définir des développés de pièces par calcul ou traçage
Tracer, découper, mettre en forme les matériaux (pliage, cambrage, étirage, rétreinte, cintrage, emboutissage, etc..)
Utiliser les outils manuels (pointe à tracer, règle..) et les machines appropriées (cisaille, plieuse, cintreuse…) indispensables à la réalisation des pièces
Mettre en œuvre les techniques complexes de formage et d’assemblage adaptées aux matériaux métalliques utilisés
Exécuter les traitements thermiques adéquats
Elaborer et réaliser les outillages de contrôle
Contrôler la pièce : contrôle dimensionnel (forme, profils), d’état de surface (aspect), de matière (état thermique)
Respecter avec précision les tolérances demandées
Connaître l’informatique appliquée à la commande numérique

Vers quels métiers peut-il évoluer ?

Autres appellations :
Tôlier, chaudronnier soudeur, chaudronnier tôles fines, chaudronnier tuyauteur, métallier, plieur, redresseur, rouleur, serrurier, traceur en chaudronnerie.
Avec quelques années d’expérience le chaudronnier peut évoluer vers la fonction de chef d'équipe ou d'atelier ou se spécialiser dans certains matériels ou technologies (alliages d'aluminium ou de magnésium, soudage de réservoirs d'appareils à pression…). Il peut aussi se diriger vers le métier de traceur ou se recycler dans d'autres métiers du travail des métaux :










mardi 4 décembre 2012

gardien de paix

Le gardien de la paix, agent d'autorité, exerce ses fonctions au contact direct de la population, dans des contextes variés et quelques fois sensibles. Il est connu de tous, sur la voie publique, en intervention ou dans le renseignement, au coeur des enquêtes les plus délicates ou en protection.
Les activités et les missions du gardien de la paix sont diverses et variées : la sécurité des personnes, des biens et des institutions, le contrôle transfrontières, la lutte contre la délinquance, la drogue, le terrorisme, le maintien de l'ordre public ou la formation.
Les gardiens de la paix sont recrutés par concours, externe ou interne.
Le concours externe est ouvert aux candidats titulaires du baccalauréat ou d'un diplôme ou titre enregistré et classé au moins au niveau IV, âgés de 17 ans au moins et de 35 ans au plus au 1er janvier de l'année du concours et qui remplissent les conditions générales d’accès aux emplois actifs de la police nationale (voir brochure d'information).
Le concours interne est ouvert aux adjoints de sécurité en activité, âgés de 37 ans au plus au 1er janvier de l'année du concours et comptant au moins une année de service en cette qualité à la date des épreuves écrites et à l'issue de leur formation professionnelle initiale, à ceux d'entre eux qui ont suivi le parcours de "cadet de la République, option police nationale" (voir brochure d'information). Ce concours est également ouvert aux volontaires dans les armées servant dans la gendarmerie nationale, titulaires du diplôme de gendarme adjoint, en activité et comptant, à la date des épreuves écrites au moins un an de service en cette qualité.
Remarques importantes sur l'organisation des concours :
Le recrutement des gardiens de la paix se fait par la voie, soit des concours nationaux (à affectation nationale ou à affectation régionale Ile de France), soit des concours déconcentrés en Outre-Mer.
Leurs différences concernent le lieu d'organisation des épreuves et le choix de l'affectation en sortie d'école.
Avertissement : Le choix du concours, national à affectation nationale ou national à affectation régionale Ile de France, se fait préalablement à l'inscription au concours. Ce choix est définitif et irréversible : le candidat ne peut revenir sur sa décision une fois le dossier d'inscription validé.
Nota : Lorsque les 2 concours (national à affectation nationale et national à affectation régionale Ile de France) sont ouverts simultanément, la majorité des postes est offerte en Ile de France.
Les concours nationaux sont organisés sur l'ensemble du territoire national (métropole et outre-mer).
Pour les concours nationaux à affectation nationale les lauréats choisissent en fin de scolarité des postes à affectation nationale sans exclure la région Ile de de France (secrétariats généraux pour l'administration de la police de Paris et Versailles) ; Ils seront affectés dans la région de leur première affectation pendant une durée minimale de 5 ans à compter de leur nomination en qualité de stagiaire.
Pour les concours nationaux à affectation régionale Ile de France, les lauréats choisissent uniquement des postes relevant des secrétariats généraux pour l'administration de la police de Paris et Versailles. Ils seront affectés dans cette région pendant une durée minimale de 8 ans à compter de leur nomination en qualité de stagiaire. La fidélisation des fonctionnaires en Ile de France est accompagnée de mesures indemnitaires et sociales.
Les concours déconcentrés en outre-mer sont organisés sur le ressort des service administratifs et techniques de la police de Guyane, Mayotte, Nouvelle-Calédonie et Polynésie française. En fin de scolarité, les lauréats sont affectés exclusivement dans ces territoires.
Le nombre total de postes offerts pour la session du 29 janvier 2013 est réparti comme suit:
- concours externe national à affectation nationale : 328
- concours externe national à affectation régionale Ile de France : 767
- concours interne national à affectation nationale : 328
- concours interne national à affectation régionale Ile de France : 766

commissaire

Les commissaires de police appartiennent au corps de conception et de direction de la police nationale. Ce corps comprend deux grades : commissaire de police, et commissaire divisionnaire de police. On recense 1 200 commissaires de police. Accès sur concours à bac + 5.

Description métier

Le commissaire de police assume la responsabilité des services de la police nationale. Il est au cœur de la vie de la cité. Violence sur enfants mineurs, trafic de drogue, sécurité et tous les stades de la délinquance sont le lot quotidien de ce fonctionnaire.
Homme orchestre, le commissaire doit assumer, selon son service de rattachement, les missions opérationnelles de police : maintien de l’ordre public, défense du territoire, investigation et recherche, sécurité routière, police de proximité et tous les aspects financiers de la criminalité organisée, blanchiment d'argent, escroqueries.
Brigade des mineurs, brigade des stupéfiants, brigades de sécurité urbaine le métier de policier est stressant et dangereux.
Le travail du commissaire consiste à suivre et coordonner l'action des enquêteurs sur le terrain. Il forme, anime et apporte son soutien logistique à ses collaborateurs. Il dirige et oriente leur travail, prend la direction des opérations importantes, procède aux choix décisifs.
Dans certaines situations, le port d’arme est nécessaire. Tout repose sur la cohésion de l'équipe.
Le commissaire définit des priorités : réinvestir le centre ville, mieux répartir et adapter les effectifs pour lutter contre la délinquance, mettre en œuvre un système de traitement administratif ou social de certains problèmes.
Le préfet, le procureur, les élus, des organismes sociaux, éducatifs, sont ses interlocuteurs. Il assure aussi la communication extérieure de son service.
Il a autorité sur l'ensemble des personnels affectés dans ses services et exerce les attributions de magistrat qui lui sont conférées par la loi. Il gère les moyens financiers et humains dont il dispose.
Ses qualités essentielles sont l’autorité, la rigueur, la réactivité, le sens de la relation humaine. La fonction nécessite une grande disponibilité (permanences de nuit…).

Études / Formation pour devenir Commissaire de police

Pour devenir commissaire de police, il faut passer un concours externe ouvert aux titulaires d’un master 2 (à dominance juridique, IEP...) et qui ont réussi les tests de présélection physique.
L’âge limite est de 35 ans. Il faut mesurer au moins 1,60 m pour les hommes comme pour les femmes.
Les fonctionnaires de police peuvent aussi passer des concours internes. La formation elle-même a lieu à l’Ecole nationale supérieure de police. Elle dure 2 ans. Les commissaires sortants sont nommés en sécurité publique dans un commissariat d’agglomération de petite taille ou adjoint dans un commissariat d’agglomération de taille moyenne.

Évolutions

Un commissaire peut devenir principal après 7 ans de carrière et divisionnaire après 4 années en tant que commissaire principal. Les possibilités d’avancement sont liées au nombre de postes à pourvoir chaque année. En fin de carrière, quelques-uns peuvent accéder aux postes de direction et de contrôle de la police nationale.

Salaires

Un commissaire titulaire débutant touche aux alentours de 2 100 €  net par mois + prime annuelle. A l’Ecole supérieure de police le futur commissaire est rémunéré à hauteur de 1 600 € net mensuels.

commisairiat de police

Dans le droit des sociétés, depuis la réforme du 22 mars 2012, le commissaire aux apports est désigné à l'unanimité des fondateurs, des associés ou des actionnaires ou, à défaut, par une décision de justice à la demande d'un associé ou du gérant, pour vérifier la valeur d'un bien apporté en nature, la valeur d'un service ou celle d'un avantage. Les statuts contiennent l'évaluation des apports en nature. Il y est procédé au vu d'un rapport annexé aux statuts et établi, sous sa responsabilité, par un commissaire aux apports. Si des avantages particuliers sont stipulés, la même procédure est suivie. Cette évaluation détermine le nombre de parts ou d' actions, qu'en rémunération de cet apport, l'associé se verra attribuer. Dans les SARL, pour l'application du deuxième alinéa de l'article L. 223-9, le montant de la valeur qu'aucun apport en nature ne doit excéder est fixé à 30 000 euros.
Selon une réponse ministérielle du 23 décembre 2004(Rép. min. n° 13389, JO Sénat Q, 23 déc. 2004, p. 2970), il résulterait de l'article L. 228-15 du code de commerce que le commissaire aux apports désigné pour évaluer les avantages particuliers résultant de l'émission d'actions de préférence au profit d'actionnaires nommément désignés doive être exclusivement choisi parmi les commissaires aux comptes n'ayant pas réalisé de mission depuis cinq ans au sein de la société émettrice. La rédaction de cet article, par sa généralité, exclut la possibilité d'obtenir la désignation d'un commissaire aux comptes ayant réalisé toute mission au sein de la société, depuis cinq ans, y compris en vertu d'une désignation judiciaire.
Sur la responsabilité des Commissaires aux apports, en cas de surévaluation des apports faits par un associé, dans le cas où est déclarée infondée une majoration infondée une majoration de la participation de l'apporteur au capital social d'une société, voir l'arrêt n° 983 du 28 juin 2005 (Bulletin 2005 IV N° 146 p. 156) de la Chambre commerciale de la Cour de cassation
Un "Commissaire à la fusion" est nommé dans le cas de fusion entre deux ou plusieurs sociétés et un "Commissaire à la transformation" est désigné en cas de modification de la forme de la société. Si ce n'est la circonstance de la vie sociale qui requiert leur nomination respective, il n'existe pas de différences de nature entre la mission donnée au "Commissaire aux apports", au "Commissaire à la fusion " et au " Commissaire à la transformation".
Voir : "Fusion et Scission".
Textes
  • Code de commerce, Articles L223-9, L224-3, L225-8, L225-14, L225-101, L225-147, L225-224, L233-4, L236-11 et s, L236-17 et s., L236-23 et L242-5, D. 223-6-1.
  • Décret n°64-235 du 26 mars 1967, Articles 25, 56-1, 64 et s, 73, 148-1, 169, 260.
  • Décret n°2010-1669 du 29 décembre 2010 relatif à l'intervention d'un commissaire aux apports dans les sociétés à responsabilité limitée.
  • Loi n°2012-387 du 22 mars 2012 relative à la simplification du droit et à l'allégement des démarches administratives
  • Bibliographie
  • Cellier (J.), La protection des partenaires de la société anonyme dans les apports partiels d'actifs, thèse, Paris I, 1992.
  • Degos (J-G.), Commissariat aux apports : Évaluations et fusions, Paris, CNCC, éd. Editions Comptables Malesherbes, 1995.
  • Girault (Ch.), L'apport en société des droits de propriété industrielle, Paris, édité par l'auteur, 1995.
  • Laederich (N.), Les aspects juridiques, comptables et fiscaux de l'apport en société d'un brevet, Paris, édité par l'auteur, 1997.
  • Le Bris (M.), Apports fusions & opérations assimilées, Neuilly-sur-Seine, éd. Impôts et Sociétés, 1994.
  • Pirolli (R.), L'évaluation des entreprises et branches d'entreprises dans les opérations de concentration et de remembrement (fusion, scission, apport partiel) thèse Paris I, 1979.
  • Prest (Ph.), L'apport en jouissance : étude juridique et fiscale appliquée au fonds de commerce, thèse Paris V, 1981.
  • lycee agricole nerac et lycee hotelier nerac

    Un Lycée pour des Métiers Nature



    Des places sont encore disponibles dans les classes suivantes :
    • 2nde générale et technologique
    • 1ère Bac technologique STAV
    • 1ère Bac pro Aménagements paysagers
    • Terminale Bac pro Aménagements paysagers
    • BTSA ACSE 1ère année

    Situé au coeur du Lot et Garonne à l'agriculture riche et variée, l'établissement, remplit sa mission d'acteur du monde rural de part la formation des jeunes, l'animation des territoires et l'insertion tant professionnelle que sociale de ses élèves et étudiants.
    Dans un environnement soigné et très "Nature", le lycée Armand Fallières, établissement scolaire à dimension humaine, vous propose des formations professionnelles, générales et technologiques et supérieures.


    Les filières de l'établissement sont l'aménagement paysager, le secteur hippique au travers des Bac Professionnels correspondants ainsi que le secteur agricole support des formations générales et technologiques et supérieures.

    L'enseignement s'appuie sur des équipements de qualité et une expérience de plus 50 ans.La présence d'une exploitation agricole et de deux centres équestres permet d'assurer une pédagogie ancrée dans la réalité professionnelle.

    L'internat, avec sa capacité d'accueil de 200 lits répartis en chambres études, est un atout majeur pour la réussite des élèves.

    Particulièrement impliqués dans le domaine sportif, nous proposons un large panel d'activités





     hôtelier





    Le mot du Proviseur,


    Année après année, le lycée professionnel Jacques de Romas s’est construit une image très positive auprès des élèves du département de LOT et GARONNE, et même au-delà, illustrée par le fort taux de pression exercée par la demande d’admission dans les diverses formations proposées et que légitime un taux de réussite aux examens supérieur aux taux départemental et académique (100% pour 5 diplômes et entre 80% et 87,5% pour les 4 autres).

    Elle s’explique aussi par la forte implication des équipes pédagogiques qui, en outre, ont su tisser des liens solides et durables avec un ensemble de partenaires professionnels des secteurs d’activité concernés : l’hôtellerie-restauration et les métiers des services à la personne.

    L’offre de formation du lycée s’articule autour de ces deux pôles d’activité avec les deux niveaux d’accès à un diplôme qui résultent de la réforme de la voie professionnelle et de la généralisation du Bac Pro 3 ans :

    - le CAP (Cuisine et Restaurant)

    - le Bac Pro 3 ans (Restauration, Sanitaire et Social Option Sanitaire, Services de Proximité et Vie Locale)

    Afin de permettre à nos élèves d’acquérir des compétences plus spécifiques, plus fines, nous leur offrons la possibilité d’intégrer 3 mentions complémentaires après l’obtention d’un premier diplôme (Accueil-Réception, Cuisinier en desserts de restaurant, Sommellerie) qui se concrétisent toutes par une forte insertion professionnelle ainsi qu’une Section d’Aides Soignants qui destine, elle aussi, à des métiers très porteurs.

    L’existence d’un Bac Pro Restauration Européen permet aux élèves qui en ont la volonté et les compétences d’intégrer un cursus au cours duquel ils auront la possibilité d’effectuer des périodes de formation en entreprise à l’étranger et ainsi, d’acquérir une maîtrise supérieure de la langue vivante concernée (anglais ou espagnol) et d’avoir des opportunités supplémentaires de carrière professionnelle à l’étranger.

    Enfin, la labellisation “Lycée des métiers” acquise en 2009 assigne au lycée une vocation à préparer des publics variés (élèves, apprentis, adultes) à acquérir des diplômes ou suivre des formations diversifiés (du CAP au BTS).

    Au-delà de notre mission pédagogique qui, outre les cours, se décline aussi au-travers de nombreux projets, notre autre mission, d’une égale noblesse, consiste à contribuer à ce que nos élèves deviennent des adultes responsables, matures, pour qui les notions de respect mutuel, de différence, de tolérance et d’ouverture à l’autre auront du sens.

    Nous y travaillons en y associant les élèves via leurs différentes représentations et, singulièrement, les internes (plus d’1 élève sur 2) qui doivent bénéficier de bonnes conditions d’accueil pour que leur semaine au lycée soit profitable et agréable.

    La taille humaine de notre établissement, son cadre verdoyant, son système de relations simples, directes, entre adultes et élèves, sont autant d’atouts pour qu’il fasse bon vivre et étudier au lycée professionnel Jacques de Romas.









    mardi 23 octobre 2012

    Le Guide Officiel des Maisons de retraite de France

     Résidence de Raymond

    Informations :
    Située au cœur de la ville d'Agen, la résidence de Raymond bénéficie de tous les services à proximité (Postes, banques, cabinets médicaux etc).
    Pour vos loisirs, nous sommes à deux pas des cinémas, du théâtre et du centre socio-culturel.
    Nous pouvons accueillir 72 résidents de manière permanente grâce à nos 66 chambres individuelles et à nos 3 chambres doubles.
    Un espace en rez-de-jardin, équipé d'une cuisine thérapeutique, permet tout à la fois d'accueillir 10 personnes dépendantes mais aussi de proposer des activités d'animation autour de la cuisine, du jardin ou de la musique avec la présence d'un piano. La communication, l'accompagnement, les soins, les animations proposées sont organisés et adaptés en fonction des capacités et envies des personnes.
    Les membres de l'équipe ont tous un métier et des compétences différents pour que, de l'assistante administrative au médecin, de l'agent d'entretien à l'aide soignante, vous soyez chaleureusement entouré(e) et que votre vie quotidienne se déroule dans le respect de vos droits.

    Educateur de la PJJ

    Formation(s) : Après un concours de niveau bac + 2, 2 ans de formation sont nécessaires au sein de l’école nationale de la protection judiciaire de la jeunesse (ENPJJ). Durant cette période, les élèves sont rémunérés (1 350 €). Ils s’engagent à servir l’administration de la Justice pendant 5 ans.

    Pour s’inscrire, il faut s’adresser à la direction régionale de la PJJ, généralement avant fin octobre.

    Le concours externe destiné aux bacs + 2 comporte des épreuves d’admissibilité et d’admission. Les épreuves d’admissibilité consistent à l’écrit en une étude de situation éducative et familiale, puis une dissertation ou deux questions sur un sujet de société. Les candidats admissibles partent ensuite effectuer un stage d’observation de 5 jours au sein de la PJJ, suivi d’un debriefing collectif et individuel, puis d’un entretien de motivation. Les épreuves d’admission consistent en une table ronde où les candidats doivent élaborer une réponse collective à des questions d’actualité dans le domaine social ou éducatif, suivie d’un entretien individuel avec un membre du jury (épreuve de conversation avec le jury à partir d’un texte à caractère social ou éducatif, de la restitution du stage effectué et du parcours personnel du candidat).


    Après un concours de niveau bac + 2, il faut 2 ans de formation au sein de l'École nationale de la Protection judiciaire de la Jeunesse (ENPJJ). Durant cette période, les élèves sont rémunérés (1 350 € par mois). Ils s'engagent à servir l'administration de la Justice pendant 5 ans.

    agent(e) hydrothermal(e)

    agent(e) hydrothermal(e)

    Se situant à mi-chemin entre l'esthéticien et l'aide-soignant, l'agent hydrothermal utilise les techniques et les vertus de l'eau (douches au jet, bains aux algues, hydromassages...) pour rééduquer, embellir ou détendre les clients.

    • Niveau d'accès : CAP ou équivalent
    • Statut(s) : Statut salarié
    • Synonymes : Agent(e) de thermalisme,
      Hydrotechnicien(ne),
      Hydrothérapeute
    • Secteur(s) professionnel(s) : Santé - Social - Bien-être

    • Centre(s) d'intérêt : Je veux être utile aux autres,
      Ma vocation est de soigner

      Nature du travail

      Accueillir
      L'agent hydrothermal contribue au bien-être du curiste ou du client dès son accueil : il le met à l'aise, l'informe, établit avec lui une relation de confiance... Il lui présente ensuite la nature des soins prodigués, leurs modalités et en surveille le bon déroulement selon un protocole défini d'avance. Cet accompagnement peut se prolonger par une information sur les autres prestations proposées par le centre (boutique, restauration...).
      Soigner
      La prise en charge du patient varie en fonction du lieu d'exercice. Pour une cure médicalisée, l'agent hydrothermal assiste un médecin ou un kinésithérapeute pour l'application des soins. Dans le cadre d'un programme de remise en forme en centre de thalassothérapie, il prépare les produits (huiles, bains, boues, algues...) et les appareils (cabines, sauna...), réalise les enveloppements et les douches au jet. Il peut également jouer un rôle de prévention auprès de personnes sujettes à des problèmes respiratoires ou dermatologiques.
      Assurer la sécurité
      Vérification de la température de l'eau, contrôle de l'état des surfaces de circulation, désinfection des postes de soins... Il veille à l'application stricte des normes et consignes d'hygiène et de sécurité en vigueur.

      Compétences requises

      Un bon relationnel
      L'agent hydrothermal doit faire preuve de qualités relationnelles : être à l'écoute du client, disponible, courtois afin de créer un climat de bien-être et de confiance. Il doit être capable de travailler en équipe et de s'adapter aux différents clients et collaborateurs. La discrétion et la diplomatie sont de mise.
      Une organisation rigoureuse
      Il participe au bon déroulement du planning des soins, met en oeuvre les différentes techniques en fonction de la prescription, assure l'hygiène de son poste de travail, veille à ne pas être en rupture de stock sur l'approvisionnement en produits... Méthode et organisation font partie de son quotidien.
      Des techniques à maîtriser
      Ce métier nécessite des connaissances en anatomie, physiologie, rhumatologie, diététique, ergonomie... Gargarisme, nébulisation, pulvérisation n'ont aucun secret pour lui ! Il sait utiliser l'eau sous toutes ses formes : bains, enveloppements, douches. Il maîtrise les techniques manuelles drainantes, relaxantes, stimulantes. Et s'il est capable de s'exprimer en anglais, c'est encore mieux !

      Smic. Une rémunération supérieure est possible selon le type d'entreprise et la convention collective applicable.

      Intégrer le marché du travail

      Un marché de l'emploi ouvert
      La diversité des établissements proposant des services liés au thermalisme (une centaine de stations thermales en France) ou à la thalassothérapie (une cinquantaine d'instituts) offre de nombreuses perspectives d'embauche, aussi bien en France qu'à l'étranger. De plus, le développement des spas, centres de remise en forme, cures thématiques (minceur, postnatale...), salons de massage et autres structures haut de gamme favorise l'ouverture des débouchés. 100 curistes ou clients supplémentaires génèrent, en moyenne, 10 emplois nouveaux.
      Évolutions et passerelles
      Avec de l'expérience, un agent hydrothermal peut évoluer au sein du secteur en se dirigeant vers un autre métier : responsable de secteur par exemple et, pourquoi pas, à terme un poste de direction. Il peut également se spécialiser dans une gamme de soins spécifiques à certaines maladies.
      Il est possible de changer de secteur. Le sport, l'esthétique et la forme sont parmi les plus adaptés.


      Accès au métier

      Aucune filière d'études spécifique n'est requise. Des formations « locales » s'ouvrent dans les villes abritant des centres de thalassothérapie. Un CAP dans les domaines sanitaire et social ou esthétique peut en faciliter l'accès.
      Un diplôme reconnu par la CPNE-IH (Commission paritaire nationale de l'emploi de l'industrie hôtelière) : le CQP (certificat de qualification professionnelle) hydrotechnicien (adresses des centres accrédités sur www.france-thalasso.com/Les-Metiers-de-la-Thalassotherapie) préparé en contrat de professionnalisation ou par la VAE (validation des acquis de l'expérience). Trois certifications reconnues par le RNCP (répertoire national des certifications professionnelles). Après le bac, il existe une seule formation universitaire diplômante.
      Après la 3e
    • CQP hydrotechnicien
    • Titre agent d'accompagnement en station thermale et en centre de maintien en forme
    • Titre agent polyvalent thermal et/ou en centre de bien-être
    • Titre hydrobalnéologue
    Après le bac
    • DU pratique des soins en hydrothérapie



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    mardi 16 octobre 2012

    Directeurs des services pénitentiaires : des cadres dirigeants au service de la loi

    Les directeurs des services pénitentiaires forment un corps chargé de l’encadrement supérieur des services pénitentiaires. Ils exercent des fonctions d’encadrement, de direction, de conception, d’expertise et de contrôle des établissements, circonscriptions, et services de l’administration pénitentiaire chargés des personnes placées sous main de justice et mettent en œuvre la politique définie à cet effet.
    Ils exercent les attributions qui leur sont conférées par les lois et règlements pour l’application des régimes d’exécution des décisions de justice et sentences pénales.
    Ils peuvent être appelés à exercer leurs fonctions en administration centrale. A ce titre, et sous l’autorité du directeur de l’administration pénitentiaire, ils peuvent être chargés de la conception, de la mise en œuvre et de l’évaluation des politiques publiques entrant dans leurs missions.
    Animés par le sens du service public, ils allient rigueur et goût de l’action, sens de la mesure et autorité, cohérence et réactivité.
    Femmes et hommes de communication, ils possèdent une grande capacité de dialogue et de réels talents de négociateur qui s’appuient sur un sens aigu du contact et de l’écoute.

    Evolution de carrière

    Titularisés à l’issue de deux années de formation, les directeurs bénéficient d’un déroulement de carrière en 2 grades :
    • Directeur des services pénitentiaires
    • Directeur des services pénitentiaires hors classe
    Les directeurs des services pénitentiaires sont amenés au cours de leur carrière à exercer leurs fonctions au sein des établissements pénitentiaires ou au sein des services centraux, ou dans une direction interrégionale, ou dans les services pénitentiaires d’insertion et de probation, ou au sein du service de l’emploi pénitentiaire, et à occuper leurs fonctions de chef d’établissement pénitentiaire, d’adjoint au chef d’établissement.
    Après avoir eu un parcours diversifié et exercé leurs fonctions à responsabilités, ils ont la possibilité d’être promus au grade supérieur de directeur des services pénitentiaires hors classe ou d’être détachés dans le statut d’emploi de directeur interrégional et de directeur fonctionnel des services pénitentiaires.
    La mobilité fait partie intégrante du déroulement de carrière d’un directeur des services pénitentiaires, la durée maximale d’affectation sur un même emploi est fixée à 4 ans. Cette durée peut être prolongée dans la limite de 2 ans.

    Statuts

    Les directeurs des services pénitentiaires sont régis par le décret n°2007-930 du 15 mai 2007 portant statut particulier du corps des directeurs des services pénitentiaires et par le décret n°2007-931 relatif au statut d’emploi de directeur interrégional et de directeur fonctionnel.
    Les directeurs des services pénitentiaires exerçant leurs fonctions dans les services déconcentrés de l’administration pénitentiaire sont soumis au statut spécial des personnels des services déconcentrés de l’administration pénitentiaire en application de l’ordonnance du 6 août 1958 et du titre VII du décret du 21 novembre 1966.

    Echelles de rémunération

    La rémunération des directeurs des services pénitentiaires est composée de deux éléments :
    La rémunération statutaire : traitement indiciaire et prime de sujétions spéciales (traitement net mensuel au 01/11/2008) : de 1.618 € pour les élèves directeurs à 5.290 € pour un directeur interrégional et fonctionnel 1er échelon.
    Le régime indemnitaire : au traitement indiciaire s’ajoute un régime indemnitaire variable (coefficient de 0 à 8) selon le niveau de l’emploi, des responsabilités, le niveau d’expertise et des sujétions particulières liées aux fonctions exercées. Les montants annuels de référence sont compris entre 2.800 euros et 11.000 euros.
    Les avantages en nature : suivant les fonctions exercées par un directeur des services pénitentiaires, un logement de fonction par nécessité absolue de service ou utilité de service peut être accordé.

    Personnels de surveillance : des carrières au service de la société

    Les personnels de surveillance, fonctionnaires de l’Etat en uniforme, participent à l’exécution des décisions et sentences pénales, et au maintien de la sécurité publique. Ils veillent à faire respecter l’ordre et la discipline au sein des structures accueillant les personnes détenues. Au contact et à l’écoute de la population pénale, ils contribuent à l’action de réinsertion et de prévention de la récidive au côté des services pénitentiaires d’insertion et de probation (SPIP) et des partenaires.
    Rigueur et stabilité, sens aigu de la communication et de l’autorité, aptitudes au travail de jour comme de nuit, sont autant de qualités que doivent posséder les personnels de surveillance.

    Evolution de carrière

    Grâce au nouveau statut d’avril 2006, les surveillants pénitentiaires peuvent évoluer plus rapidement vers des postes d’encadrement (premiers surveillants, majors), puis accéder à des postes de commandement (lieutenants, capitaines, commandants pénitentiaires). Ils peuvent être amenés à assurer des fonctions de chef d’établissement dans des maisons d’arrêt et établissements pour peines de moins de 200 places.
    Des mesures transitoires sont prévues jusqu’en 2009 pour permettre aux personnels en poste avant avril 2006 d’accéder aux nouveaux grades.
    Pour en savoir plus sur les mesures prévues par le nouveau statut, consulter la fiche métier disponible sur le site du ministère de la justice.

    Statuts

    Comme tous les agents de l’Etat, les personnels de surveillance se trouvent soumis au statut général de la Fonction publique et au statut particulier de l’administration pénitentiaire. Ils sont, en outre, régis par un statut spécial : le décret n°2006-441 du 14 avril 2006.
    Les personnels de surveillance bénéficient d’un régime de retraite avantageux permettant de cesser leur activité à 50 ans.

    Echelles de rémunération

    (traitement net mensuel, primes incluses, au 01/10/2008)
    De 1.351 € pour un élève surveillant (prime de stage incluse) 1er échelon à 3.553  € pour un commandant pénitentiaire dernier échelon.

    présentation enap

    L'école nationale d'administration pénitentiaire est un établissement public administratif rattaché au ministère de la Justice et qui relève de la direction de l'administration pénitentiaire.

    Elle est le seul établissement de formation initiale (c'est-à-dire dispensée après réussite au concours choisi) pour tous les personnels pénitentiaires (personnels de surveillance, de direction, d'insertion et de probation, personnels administratifs et techniques).

    Elle assure également la formation continue des cadres, des acteurs de formation et des différents « spécialistes » (chargés d'application informatique, moniteurs de sport)
    Elle a pour mission de donner aux fonctionnaires pénitentiaires une formation professionnelle théorique et pratique avant qu'ils n'accèdent à un emploi.

    Elle offre également des possibilités de perfectionnement et de formation continue tant pour leur permettre de se préparer à une promotion (formation dite d'adaptation à la fonction) que pour se maintenir informés de l'évolution de l'action de l'administration pénitentiaire.

    batiment synthese

    Depuis plusieurs années la maîtrise d'oeuvre a dû intégrer plusieurs mutations, liées à l'arrivée de l'informatique, à une demande croissante de qualité, donc à une approche du "zéro défaut" comme dans l'industrie.

    C'est dans cette optique de diminution des malfaçons et des sinistres, que travaillent les grandes entreprises pour les chantiers clef en main en France comme à l'étranger.
    Aussi la coordination des différents lots constituant l'ensemble des acteurs de la construction est devenue une priorité.
    La création d'une cellule de synthèse* est devenue indispensable, pour régler tous les problèmes de construction et de restructuration des bâtiments.
    Nous passons progressivement des techniques de construction, de façonnage à des techniques de construction d'assemblage.

    Dans un système à dominance d'assemblage, il s'agit d'un processus industriel avec un système qualité prévu dés le début.
    Si la synthèse est parfaitement exécutée, il y aura peu de différence entre les compilations de synthèse et les plans DOE (Dossiers des Ouvrages Exécutés) des entreprises.

    Dans un système à dominance de façonnage tout est fondé sur la compétence du compagnon ou du chef de chantier. C'est un processus artisanal.
    Cette vision économique, en temps ne permet en aucun cas une approche "zero défaut" de l'ensemble d'un chantier.
    C'est hélas ce qui sera souvent demandé à la MOE en cas de restructuration partielle ou totale d'un bâtiment.

    C'est aussi, cette méthode de gérer la synthèse qui sera la mieux comprise des entreprises et de la maîtrise d'ouvrage, en ce sens ou elle ne demande que l'étude des besoins; les plans étant finalisés et exécutés entièrement par la synthèse, en fait la synthèse dans ce cas doit se substituer progressivement aux bureaux d'études des entreprises.

    Ces deux techniques d'exécutions d'un projet sont diamétralement opposées, la constitution et le travail de la cellule de synthèse entièrement différent.
    La synthèse se retrouve "coincée" entre ces deux visions, dans l'appréciation de son action par tous les acteurs de la construction.
    Aussi il faut veiller au sein de la MOE et de l'OPC dans le cas d'une synthèse complète, au strict respect de la charte graphique, du planning, de la méthodologie à adopter pour la production le classement et la remise des données.
    Elle doit être insensible et impartiale aux demandes des intervenants, au risque de tomber dans un illogisme de définition du but initialement recherché.
    Surtout que sur certains chantiers, la maîtrise d'ouvrage est souvent maîtrise d'oeuvre, employant les mêmes entreprises, pour les rénovations annexes au chantier général.
    La tentation est forte pour les entreprises et la maîtrise d'ouvrage de passer outre les impératifs de la synthèse et de la maîtrise d'oeuvre, voir de remettre en cause leurs bon fonctionnement.
    De ce fait, l'équipe de synthèse se retrouve en opposition avec la maîtrise d'ouvrage et les entreprises.
    Les tentions deviennent rapidement insurmontables.
    En bref il est impossible de passer d'une synthèse prévue suivant un process l'industriel à une synthèse dite "artisanale".

    *La Cellule de Synthèse est chargée de réaliser dans le cadre des délais études et travaux définis dans le calendrier enveloppe établi par l’OPC : la synthèse entre les P.E.E. (Plans d'exécution des Entreprises) établis par les entreprises à partir des plans MARCHE établis par la MOE.

    mardi 9 octobre 2012

    architecte

     
    Fiche métier

    architecte

    Construction d'un immeuble ou d'un hôpital, réhabilitation de logements sociaux, reconversion d'une usine en bureaux... Autant de projets qui ne peuvent pas voir le jour sans l'intervention d'un architecte. Ce maître d'oeuvre exerce le plus souvent en libéral.

    Le métier

    Nature du travail

    Concevoir et coordonner
    À la demande d'un maître d'ouvrage (particulier, société de promotion immobilière, collectivité territoriale...), l'architecte assure la conception et coordonne la réalisation de maisons, d'immeubles, de bâtiments publics. Après une étude de faisabilité (étude du terrain, dimensionnement de la structure, devis), il dessine sur ordinateur les plans du bâtiment à construire, qu'il pourra modifier en fonction des souhaits du maître d'ouvrage ou pour régler des problèmes techniques. Le travail de l'architecte prend en compte les souhaits du donneur d'ordres, un budget donné et les règles d'urbanisme (impératifs économiques, réglementation, caractéristiques du terrain, etc.).
    Sélectionner des entreprises
    Après validation de l'avant-projet, l'architecte contacte des entreprises prestataires spécialisées en électricité, maçonnerie, installations thermiques, etc. Il réalise un dossier technique et planifie le chantier (coût, délais, mode constructif, etc.), dépose les demandes de permis de construire et d'autorisations d'urbanisme.
    Suivre le chantier
    L'architecte assure ensuite la conduite générale des travaux. Maître d'oeuvre, il suit chaque étape de la construction en veillant au respect du dossier d'exécution et de la qualité. Il informe régulièrement le client de l'avancement des travaux et l'assiste lors de la réception de l'ouvrage.

    Compétences requises

    Talent artistique et maîtrise technique
    Directeur artistique d'un projet, l'architecte maîtrise le dessin artistique et technique, les différents types architecturaux à travers l'histoire. Il s'en inspire d'ailleurs en apportant son propre style, tout en veillant à son intégration dans l'environnement. Il sait aussi utiliser les logiciels de CAO et DAO (conception et dessin assistés par ordinateur). Enfin, doté d'un bagage juridique, il connaît les normes et le cadre réglementaire du domaine de la construction.
    Réactivité et organisation
    Les modifications demandées par les clients ou survenant sur les chantiers se faisant presque toujours dans l'urgence, l'architecte doit faire preuve de vivacité d'esprit pour trouver les meilleures solutions. Une bonne résistance au stress et à la fatigue s'impose. Lorsqu'un chantier démarre, les horaires sont lourds et les déplacements nombreux. Clients, bureau d'études, entreprises du bâtiment... les interlocuteurs sont variés : sens de l'organisation et de la pédagogie sont alors indispensables.




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    Les services en Ligne
    Connaître les parcours de formation, les débouchés et l'actualité des sciences et technologies. Découvrir les métiers qui mettent le cap sur l'innovation technologique.
    Un nouveau site web pour tout savoir sur les formations professionnelles, l'apprentissage et les métiers du CAP au bac pro. Toutes les poursuites d'études en BTS, DUT...
    Connaître les parcours de formation et la diversité des débouchés littéraires. Notamment les nouvelles possibilités offertes par la banque d'épreuves littéraires (BEL).
    Un site qui encourage les jeunes de la voie pro à faire leurs études en Europe. Des informations, des conseils pour les élèves, les équipes éducatives, les entreprises…

    batiment

    Des logements collectifs ou individuels jusqu’aux équipements publics, les entreprises du BTP interviennent partout. Elles continuent de recruter massivement malgré la crise. Des ouvriers d’abord, mais aussi, et de plus en plus, des diplômés du supérieur


    Le BTP recrute massivement malgré la crise

    Routes, ponts, canalisations, mais aussi logements et édifices publics... Depuis l’artisan travaillant en solo jusqu’aux géants tels que Vinci ou Eiffage, les entreprises du BTP ne chôment pas. Aussi continuent-elles de recruter massivement malgré la crise.
    Chaque année, le secteur du bâtiment embauche environ 80 000 personnes, et les travaux publics intègrent presque 27 000 nouveaux entrants.
    Ces secteurs de main-d’oeuvre, qui rassemblent presque 1 500 000 personnes, comptent une majorité d’ouvriers à renouveler régulièrement.
    Car ils sont nombreux à partir à la retraite ou à évoluer dans la hiérarchie.
    Reste que le BTP a aussi un besoin accru de cadres pour faire face à de nouvelles exigences.
    Sans oublier les architectes. Ces maîtres d’oeuvre chargés de concevoir les projets de construction seraient environ 35 000 dont 83 % de libéraux et associés.

    Une majorité d’ouvriers et des cadres aux compétences élargies

    Sur les chantiers du bâtiment, les ouvriers sont majoritaires (75 %), se répartissant entre le gros œuvre (le maçon ou le conducteur d’engins y sont en bonne place) et le second œuvre, c’est-à-dire toutes les finitions, de la toiture à la peinture en passant par l’électricité (plombier, menuisier, carreleur, chauffagiste, charpentier…).
    Les travaux publics s’appuient également sur les équipes ouvrières (65 %), chargées de domaines aussi divers que la construction de routes, l’installation d’éclairages publics, la collecte des déchets, l’acheminement de l’eau potable…
    A la tête des équipes, des chefs de chantier, des conducteurs de travaux, des commerciaux… dont les compétences s’élargissent.
    En cause, les nouvelles réglementations liées au développement durable ainsi qu’à la concurrence accrue entre les entreprises pour décrocher les marchés.

    Le BTP à tous niveaux, du CAP au bac + 5

    Dans le BTP, le CAP (certificat d’aptitude professionnelle) reste un niveau de qualification très recherché, d’autant plus lorsqu’il est préparé en apprentissage.
    Pour preuve, une trentaine de diplômes forment les jeunes à des spécialités pointues (CAP canalisateur, constructeur de routes , couvreur , maçon , installateur thermique , plâtrier , peintre …).
    Au niveau bac, sont proposés une quinzaine de bacs pro et autant de brevets professionnels, permettant aux diplômés de s’installer à leur compte.
    Au niveau supérieur, une quinzaine de BTS (brevets de technicien supérieur bâtiment , travaux publics , enveloppe du bâtiment , géomètre-topographe …) et 2 DUT (diplômes universitaires de technologie génie civil , génie thermique et énergie ).
    Ces diplômes peuvent être complétés par une licence pro (bac + 3) pour accéder à des fonctions d’encadrement intermédiaire.
    A bac + 5, on retrouve des écoles d’ingénieurs et des masters conduisant aux postes de cadres.
    Citons aussi les 20 écoles d’architecture menant en 5 ans au diplôme d’Etat . S’y ajoutent l’ ESA de Paris, une école privée reconnue, ainsi que l’ Insa de Strasbourg, seul établissement à recruter les futurs architectes avec un bac +