mardi 23 octobre 2012

Le Guide Officiel des Maisons de retraite de France

 Résidence de Raymond

Informations :
Située au cœur de la ville d'Agen, la résidence de Raymond bénéficie de tous les services à proximité (Postes, banques, cabinets médicaux etc).
Pour vos loisirs, nous sommes à deux pas des cinémas, du théâtre et du centre socio-culturel.
Nous pouvons accueillir 72 résidents de manière permanente grâce à nos 66 chambres individuelles et à nos 3 chambres doubles.
Un espace en rez-de-jardin, équipé d'une cuisine thérapeutique, permet tout à la fois d'accueillir 10 personnes dépendantes mais aussi de proposer des activités d'animation autour de la cuisine, du jardin ou de la musique avec la présence d'un piano. La communication, l'accompagnement, les soins, les animations proposées sont organisés et adaptés en fonction des capacités et envies des personnes.
Les membres de l'équipe ont tous un métier et des compétences différents pour que, de l'assistante administrative au médecin, de l'agent d'entretien à l'aide soignante, vous soyez chaleureusement entouré(e) et que votre vie quotidienne se déroule dans le respect de vos droits.

Educateur de la PJJ

Formation(s) : Après un concours de niveau bac + 2, 2 ans de formation sont nécessaires au sein de l’école nationale de la protection judiciaire de la jeunesse (ENPJJ). Durant cette période, les élèves sont rémunérés (1 350 €). Ils s’engagent à servir l’administration de la Justice pendant 5 ans.

Pour s’inscrire, il faut s’adresser à la direction régionale de la PJJ, généralement avant fin octobre.

Le concours externe destiné aux bacs + 2 comporte des épreuves d’admissibilité et d’admission. Les épreuves d’admissibilité consistent à l’écrit en une étude de situation éducative et familiale, puis une dissertation ou deux questions sur un sujet de société. Les candidats admissibles partent ensuite effectuer un stage d’observation de 5 jours au sein de la PJJ, suivi d’un debriefing collectif et individuel, puis d’un entretien de motivation. Les épreuves d’admission consistent en une table ronde où les candidats doivent élaborer une réponse collective à des questions d’actualité dans le domaine social ou éducatif, suivie d’un entretien individuel avec un membre du jury (épreuve de conversation avec le jury à partir d’un texte à caractère social ou éducatif, de la restitution du stage effectué et du parcours personnel du candidat).


Après un concours de niveau bac + 2, il faut 2 ans de formation au sein de l'École nationale de la Protection judiciaire de la Jeunesse (ENPJJ). Durant cette période, les élèves sont rémunérés (1 350 € par mois). Ils s'engagent à servir l'administration de la Justice pendant 5 ans.

agent(e) hydrothermal(e)

agent(e) hydrothermal(e)

Se situant à mi-chemin entre l'esthéticien et l'aide-soignant, l'agent hydrothermal utilise les techniques et les vertus de l'eau (douches au jet, bains aux algues, hydromassages...) pour rééduquer, embellir ou détendre les clients.

  • Niveau d'accès : CAP ou équivalent
  • Statut(s) : Statut salarié
  • Synonymes : Agent(e) de thermalisme,
    Hydrotechnicien(ne),
    Hydrothérapeute
  • Secteur(s) professionnel(s) : Santé - Social - Bien-être

  • Centre(s) d'intérêt : Je veux être utile aux autres,
    Ma vocation est de soigner

    Nature du travail

    Accueillir
    L'agent hydrothermal contribue au bien-être du curiste ou du client dès son accueil : il le met à l'aise, l'informe, établit avec lui une relation de confiance... Il lui présente ensuite la nature des soins prodigués, leurs modalités et en surveille le bon déroulement selon un protocole défini d'avance. Cet accompagnement peut se prolonger par une information sur les autres prestations proposées par le centre (boutique, restauration...).
    Soigner
    La prise en charge du patient varie en fonction du lieu d'exercice. Pour une cure médicalisée, l'agent hydrothermal assiste un médecin ou un kinésithérapeute pour l'application des soins. Dans le cadre d'un programme de remise en forme en centre de thalassothérapie, il prépare les produits (huiles, bains, boues, algues...) et les appareils (cabines, sauna...), réalise les enveloppements et les douches au jet. Il peut également jouer un rôle de prévention auprès de personnes sujettes à des problèmes respiratoires ou dermatologiques.
    Assurer la sécurité
    Vérification de la température de l'eau, contrôle de l'état des surfaces de circulation, désinfection des postes de soins... Il veille à l'application stricte des normes et consignes d'hygiène et de sécurité en vigueur.

    Compétences requises

    Un bon relationnel
    L'agent hydrothermal doit faire preuve de qualités relationnelles : être à l'écoute du client, disponible, courtois afin de créer un climat de bien-être et de confiance. Il doit être capable de travailler en équipe et de s'adapter aux différents clients et collaborateurs. La discrétion et la diplomatie sont de mise.
    Une organisation rigoureuse
    Il participe au bon déroulement du planning des soins, met en oeuvre les différentes techniques en fonction de la prescription, assure l'hygiène de son poste de travail, veille à ne pas être en rupture de stock sur l'approvisionnement en produits... Méthode et organisation font partie de son quotidien.
    Des techniques à maîtriser
    Ce métier nécessite des connaissances en anatomie, physiologie, rhumatologie, diététique, ergonomie... Gargarisme, nébulisation, pulvérisation n'ont aucun secret pour lui ! Il sait utiliser l'eau sous toutes ses formes : bains, enveloppements, douches. Il maîtrise les techniques manuelles drainantes, relaxantes, stimulantes. Et s'il est capable de s'exprimer en anglais, c'est encore mieux !

    Smic. Une rémunération supérieure est possible selon le type d'entreprise et la convention collective applicable.

    Intégrer le marché du travail

    Un marché de l'emploi ouvert
    La diversité des établissements proposant des services liés au thermalisme (une centaine de stations thermales en France) ou à la thalassothérapie (une cinquantaine d'instituts) offre de nombreuses perspectives d'embauche, aussi bien en France qu'à l'étranger. De plus, le développement des spas, centres de remise en forme, cures thématiques (minceur, postnatale...), salons de massage et autres structures haut de gamme favorise l'ouverture des débouchés. 100 curistes ou clients supplémentaires génèrent, en moyenne, 10 emplois nouveaux.
    Évolutions et passerelles
    Avec de l'expérience, un agent hydrothermal peut évoluer au sein du secteur en se dirigeant vers un autre métier : responsable de secteur par exemple et, pourquoi pas, à terme un poste de direction. Il peut également se spécialiser dans une gamme de soins spécifiques à certaines maladies.
    Il est possible de changer de secteur. Le sport, l'esthétique et la forme sont parmi les plus adaptés.


    Accès au métier

    Aucune filière d'études spécifique n'est requise. Des formations « locales » s'ouvrent dans les villes abritant des centres de thalassothérapie. Un CAP dans les domaines sanitaire et social ou esthétique peut en faciliter l'accès.
    Un diplôme reconnu par la CPNE-IH (Commission paritaire nationale de l'emploi de l'industrie hôtelière) : le CQP (certificat de qualification professionnelle) hydrotechnicien (adresses des centres accrédités sur www.france-thalasso.com/Les-Metiers-de-la-Thalassotherapie) préparé en contrat de professionnalisation ou par la VAE (validation des acquis de l'expérience). Trois certifications reconnues par le RNCP (répertoire national des certifications professionnelles). Après le bac, il existe une seule formation universitaire diplômante.
    Après la 3e
  • CQP hydrotechnicien
  • Titre agent d'accompagnement en station thermale et en centre de maintien en forme
  • Titre agent polyvalent thermal et/ou en centre de bien-être
  • Titre hydrobalnéologue
Après le bac
  • DU pratique des soins en hydrothérapie



synthese enap

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mardi 16 octobre 2012

Directeurs des services pénitentiaires : des cadres dirigeants au service de la loi

Les directeurs des services pénitentiaires forment un corps chargé de l’encadrement supérieur des services pénitentiaires. Ils exercent des fonctions d’encadrement, de direction, de conception, d’expertise et de contrôle des établissements, circonscriptions, et services de l’administration pénitentiaire chargés des personnes placées sous main de justice et mettent en œuvre la politique définie à cet effet.
Ils exercent les attributions qui leur sont conférées par les lois et règlements pour l’application des régimes d’exécution des décisions de justice et sentences pénales.
Ils peuvent être appelés à exercer leurs fonctions en administration centrale. A ce titre, et sous l’autorité du directeur de l’administration pénitentiaire, ils peuvent être chargés de la conception, de la mise en œuvre et de l’évaluation des politiques publiques entrant dans leurs missions.
Animés par le sens du service public, ils allient rigueur et goût de l’action, sens de la mesure et autorité, cohérence et réactivité.
Femmes et hommes de communication, ils possèdent une grande capacité de dialogue et de réels talents de négociateur qui s’appuient sur un sens aigu du contact et de l’écoute.

Evolution de carrière

Titularisés à l’issue de deux années de formation, les directeurs bénéficient d’un déroulement de carrière en 2 grades :
  • Directeur des services pénitentiaires
  • Directeur des services pénitentiaires hors classe
Les directeurs des services pénitentiaires sont amenés au cours de leur carrière à exercer leurs fonctions au sein des établissements pénitentiaires ou au sein des services centraux, ou dans une direction interrégionale, ou dans les services pénitentiaires d’insertion et de probation, ou au sein du service de l’emploi pénitentiaire, et à occuper leurs fonctions de chef d’établissement pénitentiaire, d’adjoint au chef d’établissement.
Après avoir eu un parcours diversifié et exercé leurs fonctions à responsabilités, ils ont la possibilité d’être promus au grade supérieur de directeur des services pénitentiaires hors classe ou d’être détachés dans le statut d’emploi de directeur interrégional et de directeur fonctionnel des services pénitentiaires.
La mobilité fait partie intégrante du déroulement de carrière d’un directeur des services pénitentiaires, la durée maximale d’affectation sur un même emploi est fixée à 4 ans. Cette durée peut être prolongée dans la limite de 2 ans.

Statuts

Les directeurs des services pénitentiaires sont régis par le décret n°2007-930 du 15 mai 2007 portant statut particulier du corps des directeurs des services pénitentiaires et par le décret n°2007-931 relatif au statut d’emploi de directeur interrégional et de directeur fonctionnel.
Les directeurs des services pénitentiaires exerçant leurs fonctions dans les services déconcentrés de l’administration pénitentiaire sont soumis au statut spécial des personnels des services déconcentrés de l’administration pénitentiaire en application de l’ordonnance du 6 août 1958 et du titre VII du décret du 21 novembre 1966.

Echelles de rémunération

La rémunération des directeurs des services pénitentiaires est composée de deux éléments :
La rémunération statutaire : traitement indiciaire et prime de sujétions spéciales (traitement net mensuel au 01/11/2008) : de 1.618 € pour les élèves directeurs à 5.290 € pour un directeur interrégional et fonctionnel 1er échelon.
Le régime indemnitaire : au traitement indiciaire s’ajoute un régime indemnitaire variable (coefficient de 0 à 8) selon le niveau de l’emploi, des responsabilités, le niveau d’expertise et des sujétions particulières liées aux fonctions exercées. Les montants annuels de référence sont compris entre 2.800 euros et 11.000 euros.
Les avantages en nature : suivant les fonctions exercées par un directeur des services pénitentiaires, un logement de fonction par nécessité absolue de service ou utilité de service peut être accordé.

Personnels de surveillance : des carrières au service de la société

Les personnels de surveillance, fonctionnaires de l’Etat en uniforme, participent à l’exécution des décisions et sentences pénales, et au maintien de la sécurité publique. Ils veillent à faire respecter l’ordre et la discipline au sein des structures accueillant les personnes détenues. Au contact et à l’écoute de la population pénale, ils contribuent à l’action de réinsertion et de prévention de la récidive au côté des services pénitentiaires d’insertion et de probation (SPIP) et des partenaires.
Rigueur et stabilité, sens aigu de la communication et de l’autorité, aptitudes au travail de jour comme de nuit, sont autant de qualités que doivent posséder les personnels de surveillance.

Evolution de carrière

Grâce au nouveau statut d’avril 2006, les surveillants pénitentiaires peuvent évoluer plus rapidement vers des postes d’encadrement (premiers surveillants, majors), puis accéder à des postes de commandement (lieutenants, capitaines, commandants pénitentiaires). Ils peuvent être amenés à assurer des fonctions de chef d’établissement dans des maisons d’arrêt et établissements pour peines de moins de 200 places.
Des mesures transitoires sont prévues jusqu’en 2009 pour permettre aux personnels en poste avant avril 2006 d’accéder aux nouveaux grades.
Pour en savoir plus sur les mesures prévues par le nouveau statut, consulter la fiche métier disponible sur le site du ministère de la justice.

Statuts

Comme tous les agents de l’Etat, les personnels de surveillance se trouvent soumis au statut général de la Fonction publique et au statut particulier de l’administration pénitentiaire. Ils sont, en outre, régis par un statut spécial : le décret n°2006-441 du 14 avril 2006.
Les personnels de surveillance bénéficient d’un régime de retraite avantageux permettant de cesser leur activité à 50 ans.

Echelles de rémunération

(traitement net mensuel, primes incluses, au 01/10/2008)
De 1.351 € pour un élève surveillant (prime de stage incluse) 1er échelon à 3.553  € pour un commandant pénitentiaire dernier échelon.

présentation enap

L'école nationale d'administration pénitentiaire est un établissement public administratif rattaché au ministère de la Justice et qui relève de la direction de l'administration pénitentiaire.

Elle est le seul établissement de formation initiale (c'est-à-dire dispensée après réussite au concours choisi) pour tous les personnels pénitentiaires (personnels de surveillance, de direction, d'insertion et de probation, personnels administratifs et techniques).

Elle assure également la formation continue des cadres, des acteurs de formation et des différents « spécialistes » (chargés d'application informatique, moniteurs de sport)
Elle a pour mission de donner aux fonctionnaires pénitentiaires une formation professionnelle théorique et pratique avant qu'ils n'accèdent à un emploi.

Elle offre également des possibilités de perfectionnement et de formation continue tant pour leur permettre de se préparer à une promotion (formation dite d'adaptation à la fonction) que pour se maintenir informés de l'évolution de l'action de l'administration pénitentiaire.

batiment synthese

Depuis plusieurs années la maîtrise d'oeuvre a dû intégrer plusieurs mutations, liées à l'arrivée de l'informatique, à une demande croissante de qualité, donc à une approche du "zéro défaut" comme dans l'industrie.

C'est dans cette optique de diminution des malfaçons et des sinistres, que travaillent les grandes entreprises pour les chantiers clef en main en France comme à l'étranger.
Aussi la coordination des différents lots constituant l'ensemble des acteurs de la construction est devenue une priorité.
La création d'une cellule de synthèse* est devenue indispensable, pour régler tous les problèmes de construction et de restructuration des bâtiments.
Nous passons progressivement des techniques de construction, de façonnage à des techniques de construction d'assemblage.

Dans un système à dominance d'assemblage, il s'agit d'un processus industriel avec un système qualité prévu dés le début.
Si la synthèse est parfaitement exécutée, il y aura peu de différence entre les compilations de synthèse et les plans DOE (Dossiers des Ouvrages Exécutés) des entreprises.

Dans un système à dominance de façonnage tout est fondé sur la compétence du compagnon ou du chef de chantier. C'est un processus artisanal.
Cette vision économique, en temps ne permet en aucun cas une approche "zero défaut" de l'ensemble d'un chantier.
C'est hélas ce qui sera souvent demandé à la MOE en cas de restructuration partielle ou totale d'un bâtiment.

C'est aussi, cette méthode de gérer la synthèse qui sera la mieux comprise des entreprises et de la maîtrise d'ouvrage, en ce sens ou elle ne demande que l'étude des besoins; les plans étant finalisés et exécutés entièrement par la synthèse, en fait la synthèse dans ce cas doit se substituer progressivement aux bureaux d'études des entreprises.

Ces deux techniques d'exécutions d'un projet sont diamétralement opposées, la constitution et le travail de la cellule de synthèse entièrement différent.
La synthèse se retrouve "coincée" entre ces deux visions, dans l'appréciation de son action par tous les acteurs de la construction.
Aussi il faut veiller au sein de la MOE et de l'OPC dans le cas d'une synthèse complète, au strict respect de la charte graphique, du planning, de la méthodologie à adopter pour la production le classement et la remise des données.
Elle doit être insensible et impartiale aux demandes des intervenants, au risque de tomber dans un illogisme de définition du but initialement recherché.
Surtout que sur certains chantiers, la maîtrise d'ouvrage est souvent maîtrise d'oeuvre, employant les mêmes entreprises, pour les rénovations annexes au chantier général.
La tentation est forte pour les entreprises et la maîtrise d'ouvrage de passer outre les impératifs de la synthèse et de la maîtrise d'oeuvre, voir de remettre en cause leurs bon fonctionnement.
De ce fait, l'équipe de synthèse se retrouve en opposition avec la maîtrise d'ouvrage et les entreprises.
Les tentions deviennent rapidement insurmontables.
En bref il est impossible de passer d'une synthèse prévue suivant un process l'industriel à une synthèse dite "artisanale".

*La Cellule de Synthèse est chargée de réaliser dans le cadre des délais études et travaux définis dans le calendrier enveloppe établi par l’OPC : la synthèse entre les P.E.E. (Plans d'exécution des Entreprises) établis par les entreprises à partir des plans MARCHE établis par la MOE.

mardi 9 octobre 2012

architecte

 
Fiche métier

architecte

Construction d'un immeuble ou d'un hôpital, réhabilitation de logements sociaux, reconversion d'une usine en bureaux... Autant de projets qui ne peuvent pas voir le jour sans l'intervention d'un architecte. Ce maître d'oeuvre exerce le plus souvent en libéral.

Le métier

Nature du travail

Concevoir et coordonner
À la demande d'un maître d'ouvrage (particulier, société de promotion immobilière, collectivité territoriale...), l'architecte assure la conception et coordonne la réalisation de maisons, d'immeubles, de bâtiments publics. Après une étude de faisabilité (étude du terrain, dimensionnement de la structure, devis), il dessine sur ordinateur les plans du bâtiment à construire, qu'il pourra modifier en fonction des souhaits du maître d'ouvrage ou pour régler des problèmes techniques. Le travail de l'architecte prend en compte les souhaits du donneur d'ordres, un budget donné et les règles d'urbanisme (impératifs économiques, réglementation, caractéristiques du terrain, etc.).
Sélectionner des entreprises
Après validation de l'avant-projet, l'architecte contacte des entreprises prestataires spécialisées en électricité, maçonnerie, installations thermiques, etc. Il réalise un dossier technique et planifie le chantier (coût, délais, mode constructif, etc.), dépose les demandes de permis de construire et d'autorisations d'urbanisme.
Suivre le chantier
L'architecte assure ensuite la conduite générale des travaux. Maître d'oeuvre, il suit chaque étape de la construction en veillant au respect du dossier d'exécution et de la qualité. Il informe régulièrement le client de l'avancement des travaux et l'assiste lors de la réception de l'ouvrage.

Compétences requises

Talent artistique et maîtrise technique
Directeur artistique d'un projet, l'architecte maîtrise le dessin artistique et technique, les différents types architecturaux à travers l'histoire. Il s'en inspire d'ailleurs en apportant son propre style, tout en veillant à son intégration dans l'environnement. Il sait aussi utiliser les logiciels de CAO et DAO (conception et dessin assistés par ordinateur). Enfin, doté d'un bagage juridique, il connaît les normes et le cadre réglementaire du domaine de la construction.
Réactivité et organisation
Les modifications demandées par les clients ou survenant sur les chantiers se faisant presque toujours dans l'urgence, l'architecte doit faire preuve de vivacité d'esprit pour trouver les meilleures solutions. Une bonne résistance au stress et à la fatigue s'impose. Lorsqu'un chantier démarre, les horaires sont lourds et les déplacements nombreux. Clients, bureau d'études, entreprises du bâtiment... les interlocuteurs sont variés : sens de l'organisation et de la pédagogie sont alors indispensables.




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Les services en Ligne
Connaître les parcours de formation, les débouchés et l'actualité des sciences et technologies. Découvrir les métiers qui mettent le cap sur l'innovation technologique.
Un nouveau site web pour tout savoir sur les formations professionnelles, l'apprentissage et les métiers du CAP au bac pro. Toutes les poursuites d'études en BTS, DUT...
Connaître les parcours de formation et la diversité des débouchés littéraires. Notamment les nouvelles possibilités offertes par la banque d'épreuves littéraires (BEL).
Un site qui encourage les jeunes de la voie pro à faire leurs études en Europe. Des informations, des conseils pour les élèves, les équipes éducatives, les entreprises…

batiment

Des logements collectifs ou individuels jusqu’aux équipements publics, les entreprises du BTP interviennent partout. Elles continuent de recruter massivement malgré la crise. Des ouvriers d’abord, mais aussi, et de plus en plus, des diplômés du supérieur


Le BTP recrute massivement malgré la crise

Routes, ponts, canalisations, mais aussi logements et édifices publics... Depuis l’artisan travaillant en solo jusqu’aux géants tels que Vinci ou Eiffage, les entreprises du BTP ne chôment pas. Aussi continuent-elles de recruter massivement malgré la crise.
Chaque année, le secteur du bâtiment embauche environ 80 000 personnes, et les travaux publics intègrent presque 27 000 nouveaux entrants.
Ces secteurs de main-d’oeuvre, qui rassemblent presque 1 500 000 personnes, comptent une majorité d’ouvriers à renouveler régulièrement.
Car ils sont nombreux à partir à la retraite ou à évoluer dans la hiérarchie.
Reste que le BTP a aussi un besoin accru de cadres pour faire face à de nouvelles exigences.
Sans oublier les architectes. Ces maîtres d’oeuvre chargés de concevoir les projets de construction seraient environ 35 000 dont 83 % de libéraux et associés.

Une majorité d’ouvriers et des cadres aux compétences élargies

Sur les chantiers du bâtiment, les ouvriers sont majoritaires (75 %), se répartissant entre le gros œuvre (le maçon ou le conducteur d’engins y sont en bonne place) et le second œuvre, c’est-à-dire toutes les finitions, de la toiture à la peinture en passant par l’électricité (plombier, menuisier, carreleur, chauffagiste, charpentier…).
Les travaux publics s’appuient également sur les équipes ouvrières (65 %), chargées de domaines aussi divers que la construction de routes, l’installation d’éclairages publics, la collecte des déchets, l’acheminement de l’eau potable…
A la tête des équipes, des chefs de chantier, des conducteurs de travaux, des commerciaux… dont les compétences s’élargissent.
En cause, les nouvelles réglementations liées au développement durable ainsi qu’à la concurrence accrue entre les entreprises pour décrocher les marchés.

Le BTP à tous niveaux, du CAP au bac + 5

Dans le BTP, le CAP (certificat d’aptitude professionnelle) reste un niveau de qualification très recherché, d’autant plus lorsqu’il est préparé en apprentissage.
Pour preuve, une trentaine de diplômes forment les jeunes à des spécialités pointues (CAP canalisateur, constructeur de routes , couvreur , maçon , installateur thermique , plâtrier , peintre …).
Au niveau bac, sont proposés une quinzaine de bacs pro et autant de brevets professionnels, permettant aux diplômés de s’installer à leur compte.
Au niveau supérieur, une quinzaine de BTS (brevets de technicien supérieur bâtiment , travaux publics , enveloppe du bâtiment , géomètre-topographe …) et 2 DUT (diplômes universitaires de technologie génie civil , génie thermique et énergie ).
Ces diplômes peuvent être complétés par une licence pro (bac + 3) pour accéder à des fonctions d’encadrement intermédiaire.
A bac + 5, on retrouve des écoles d’ingénieurs et des masters conduisant aux postes de cadres.
Citons aussi les 20 écoles d’architecture menant en 5 ans au diplôme d’Etat . S’y ajoutent l’ ESA de Paris, une école privée reconnue, ainsi que l’ Insa de Strasbourg, seul établissement à recruter les futurs architectes avec un bac +
jeudi 4 octobre Monsieur Lionel Verger est venue nous parler de l agroalimentaire il nous a parler des différent métier con pouvait  trouver . L’industrie agroalimentaire est l'ensemble des activités industrielles qui transforment des matières premières issues de l’agriculture, de l'élevage ou de la pêche en produits alimentaires destinés essentiellement à la consommation humaine. Elle ne doit pas être confondue avec l'agro-industrie, qui comprend outre l'agroalimentaire, la transformation des matières premières issues de l'agriculture, de la pêche et de la foresterie en produits non alimentaires, comme les biocarburants, les biomatériaux et les biotechnologies industrielles (« biotechnologies blanches »).

mardi 2 octobre 2012

conseil général du 47

bonjours jeudi dernier nous sommes aller aux conseil général nous avons parler des différent métier des différente place qu' il y avait nous avons goûter et bue un ri car  nous avons aussi parler des différent secteur Le Conseil général est le partenaire privilégié du quotidien des Lot-et-Garonnais.
Vivre dans le 47, c’est bénéficier de structures adaptées