mardi 11 juin 2013

Grâce à l odp3 j ai peut apprendre pleins de métiers différent cela ma plus beaucoup je remercie les différents entreprise de nous avoir accueilles est merci monsieur le professeur de nous avoir peu nous faire visiter tout c est entreprise.j ai peu voir les différents

L'option ODP3 m'a permis de m'éclairer sur mon orientation et de la finaliser. Elle m'a fait découvrir des métiers. Les visites m'ont beaucoup plu, aller voir les professionnels en action, participer à certaines de leur "tâches" est intéressant.
Je pensais au début de l'année que l'on allais être en classe à tous les cours et découvrir des métiers mais enfaite nous nous sommes beaucoup déplacés dans les entreprises, casernes ou bureaux pour aller à la rencontre de ces professionnels ou des chefs d'entreprises venaient nous rendre une visite pour nous expliquer le mode de fonctionnement et nous décrire en quoi consiste leur métiers.
 Notre blog est pour notre professeur le moyen de noté nos résumés de visite ou de métiers découverts pour savoir ce que chacun avait retenu. Mais c'est aussi un moyen pour d'autres personnes de l'extérieur ou de futur 3éme ODP3 de découvrir notre option.merci

   

mardi 28 mai 2013

histoire des beau art

Le musée des Beaux-Arts d'Agen est installé dans quatre hôtels particuliers qui datent de la Renaissance : l'hôtel d'Estrades, l'hôtel de Vaurs, l'hôtel Vergès et l'hôtel Monluc.
Musée d'histoire
Cet ensemble architectural, composé des hôtels et des cours intérieures, offre aux visiteurs une promenade à travers l'histoire monumentale d'Agen.
Les premières collections ont été rassemblées à la fin du XIXème siècle par les érudits et les amateurs agenais. Le musée s'est ouvert en 1876 et compte aujourd'hui plus de 2 000 œuvres historiques et artistiques. Au début du siècle, il s'est considérablement enrichi par l'arrivée du legs Chaudordy (art espagnol) et de la collection des ducs d'Aiguillon (art français du XVIIIème siècle), issue des saisies révolutionnaires de 1792. Depuis, le Musée n'a cessé de bénéficier d'une politique de dépôts de l'État et d'acquisitions, qui en fait un des musées municipaux les plus réputés...
Raconter l'histoire des bâtiments composant le musée des Beaux-Arts de la ville d'Agen n'a rien d'une sinécure. Le musée est en fait un assemblage de constructions disparates, qui ne sont devenues un ensemble cohérent que lors des cent vingt dernières années.
Il faut revenir très longtemps en arrière pour découvrir le secret des premières pierres sur lesquelles le musée s'est bâti. L'implantation des différents hôtels particuliers du musée suit celle du premier rempart de la ville : le mur romain du IIIème siècle. Il semblerait, selon certains spécialistes, que des vestiges de ce mur soient encore visibles dans les sous-sols du musée. De fait, un rempart va rester à cet endroit pendant presque tout le Moyen Age. C'est notamment de ce coté-là que viendront les attaques arabes, celles des croisés contre les cathares de la ville et enfin celles des Anglais pendant la guerre de Cent Ans. Ces derniers constitueront le principal péril, lorsqu'ils parviendront à s'emparer du château Montrevel : gardien de la ville et actuelle mairie.
Les péripéties de la guerre de Cent Ans entraîneront la destruction des remparts, à la moitié du XVème siècle. Les différents hôtels particuliers sont érigés entre la fin du XVème et le milieu du XVI siècle.
L'hôtel d'Estrades, acquis en 1658, flanque la maison commune (actuel théâtre) à laquelle il est lié par une aile qui est démolie en 1880.
L'hôtel de Vaurs devient ce magnifique bâtiment renaissance que nous connaissons aujourd'hui, sous l'influence de Géraud Michel dit Ferron. Celui-ci l'aménage, peu de temps avant les guerres de Religion. L'hôtel de Vaurs sera acquis pour le prix considérable de 8 000 livres tournois (16 millions de nos francs actuels environ) par la ville, en 1765, pour devenir une prison.
L'hôtel Vergès, moins riche en décorations, ne complète pas pour autant, parfaitement, l'ensemble d'un musée auquel on rajoutera l'hôtel Monluc dans les années 60-70.
En attendant, ces hôtels particuliers deviennent des bâtiments publics avant la Révolution. Ils sont la marque d'un pouvoir municipal déjà fortement installé à Agen. La Révolution ne viendra guère bouleverser leur rôle. Par contre, le nouveau régime invente le concept de musée, et l'idée d'un tel conservatoire naît à Agen en l'an II. Le musée d'Agen reste cependant à l'état de concept pendant les trois quarts du XIXème siècle.
Il faut attendre 1876 pour que les choses évoluent. Entre-temps, Agen se transforme. L'un des aspects essentiels est la translation du siège du pouvoir municipal de l'ancienne maison commune au présidial. L'évolution se fait par étapes et passe d'abord par l'annexion d'une partie de l'hôtel d'Estrades pour abriter plusieurs services municipaux.
Lorsque la Société des amis du musée est créée en 1876, les hôtels particuliers sont vides depuis près de 10 ans. C'est une aubaine unique pour installer les collections qui attendent depuis quatre-vingt ans. Le musée est monté entre 1876 et 1878. Rapidement après son inauguration, il voit son succès décoller. De plus, il peut compter sur des alliés de choix. Outre la Société des amis du musée qui compte des gens de valeurs comme G. Tholin, A.Magen, Ph Lauzun..., il est aussi protégé par des maires comme J.B Durand, G.Laboulbène et J.Celsou des parlementaires comme J.Chaumié. A. Fallières, le bienfaiteur du Lot-et-Garonne entre 1880 et 1910, ministre des Beaux-Arts puis Président, alimentera le musée avec des œuvres d'origines diverses . Enfin le musée d'Agen doit aussi sa gloire aux généreux donateurs comme le comte Chaudordy, Brondeaude Senelles ou encore l'incontournable Félix Aunac.
C'est d'ailleurs sous l'impulsion de ce dernier que le musée connaît sa première évolution architecturale, et ce dès 1893. Un étage supplémentaire en briques est apporté à l'hôtel de Vergès. Cette construction non seulement ne dénature pas le bâtiment original, mais lui apporte une touche supplémentaire de grâce et de beauté. Cette transformation ne fut pas de tout repos. L'idée partit du décès de Félix Aunac, grand ami du musée s'il en fut. Son fils, Louis, en exécution des volontés de son père donne 15 000 francs-or, ce qui est une somme considérable pour faire exécuter des travaux qui reviennent in fine à 32 000 francs.
Cependant, en 1895, la crise frappe la France, et les villes comme Agen n'ont pas la marge de manœuvre suffisante pour fournir de facto une somme de 17 000 francs or. Le ministère des Beaux-Arts est donc sollicité... Mais Georges Leygues, bien que Lot-et-Garonnais, n'accorde aucun moyen à ce projet. Pire, il laisse traîner les choses et mets en danger la donation Aunac. Celle-ci, dont une clause limite l'utilisation de la somme dans le temps, serait perdue 18 mois après la demande. Finalement le maire d'Agen réussit à ménager la chèvre et le chou, obtenant une remise de la part des entreprises concessionnaires. Le projet peut donc aboutir en septembre 1895 et le musée prend le visage extérieur qu'on lui connaît aujourd'hui.
Cependant, la salle Aunac n'est que le premier pas de l'évolution du musée des Beaux-Arts. En pleine guerre mondiale, en 1917, le musée est remis à neuf et des projets fusent pour aménager la salle Brondeau de Senelles. La Première Guerre mondiale a des effets à retardement assez dramatiques pour le musée. Aucun aménagement d'importance n'est prévu entre 1918 et 1932. A cette période, une nouvelle crise frappe la France et menace aussi le musée, ainsi que l'ensemble architectural classé qu'il compose. Les toits, surtout, donnent des signes de fatigue, et, à plusieurs reprises, des passants échappent à la mort de quelques centimètres, car une tuile qui vient de se détacher tombe à leurs pieds ! Il faudra attendre 1936-1937 pour qu'une campagne importante de rénovations soit entreprise.
Le toit est l'une des priorités, mais il s'agit aussi d'améliorer la communication entre les différents bâtiments. C'est un véritable débat d'architecte qui va opposer les vues de G. Rapin, à celles de l'architecte du ministère et à celles de l'ingénieur de la ville. Pour réussir à ouvrir une porte dans un mur d'un mètre cinquante d'épaisseur entre les hôtels de Vaurs et de Vergès, toutes les solutions sont envisagées. Finalement, compte tenu de l'état du mur, et des coûts induits, la ville opte pour celle de son ingénieur : une porte soutenue par un encadrement de béton armé avec des ferrures suffisamment fortes pour faire face aux contraintes du bâtiment.
Après la Seconde Guerre mondiale, l'arrivée de Mlle Labit en qualité de conservateur va permettre d'améliorer l'entretien des bâtiments du musée. Elle insiste d'abord sur le bien être de ses agents en aménageant des bureaux chauds et confortables, puis, elle commande des travaux d'embellissement en faisant éliminer certaines statues en plâtre ne correspondant plus à l'image du musée des Beaux-Arts d'Agen. Cette opération offrit une surprise de taille aux ouvriers municipaux, qui se heurtèrent à une boîte de fer en abattant une de ces statues. A l'intérieur de la boîte, le cœur embaumé de Boudon de Saint-Amans attendait qu'on le découvre. Peu après, le musée annexe la presque totalité de l'hôtel Monluc, ce qui constitue un agrandissement très important. Seul le rez-de-chaussée est laissé au club Monluc et au C.C.A.S. Les étages supérieurs reviennent au musée qui y installera notamment les œuvres contemporaines. Toutefois, le musée n'atteindra l'éclat qu'on lui connaît qu'à partir des années 1970, lorsque le tandem Esquirol-Labit met toute sa passion au service de ce haut lieu de la culture agenaise. L'achat de Monluc nécessite de nombreux travaux, fort chers. Mais en 10 ans c'est l'ensemble du musée qui va être restauré. Le plus impressionnant sera peut-être la dépose des fenêtres à meneaux de l'hôtel de Vergès.
Mlle Labit devient Mme Esquirol. Elle continue l'œuvre entreprise à deux au musée. Elle fait honneur à son défunt mari en réservant une nouvelle salle aux pièces dont il a fait don. Ce don ouvre, par ailleurs, le musée d'Agen vers l'art asiatique. Conservateur depuis le début des années cinquante, Mme Esquirol prend sa retraite en 1992.
C'est l'occasion pour une jeune conservatrice alsacienne, Yannick Lintz de faire ses preuves. En peu de temps, elle va faire de l'héritage du couple Esquirol un musée à la pointe de la modernité. L'un de ses soucis principaux est de diversifier les publics. Aidée par des collaborateurs compétents et passionnés, elle multiplie les événements, parvenant même à intéresser les plus jeunes (3 à 6 ans) aux œuvres d'art. Ces oeuvres d'art, justement, Yannick Lintz va tenter de leurs conférer une légitimité accrue. Elle fait expertiser, plus particulièrement, les Goya, dont Agen est si fière. Mais elle a aussi la chance avec elle, puisqu'elle découvre, fait restaurer et enfin, fait mettre en valeur un Tintoret que l'on ne connaissait pas.
Enfin, avant de partir au cabinet du ministre de l'Education nationale, Mlle Lintz aura eu le temps de faire produire, avec l'aide de la BNP-Paribas un catalogue du musée et de préparer les nouveaux travaux qui feront du musée des beaux arts d'Agen un musée du troisième millénaire. Marie-Dominique Nivière est, depuis mai 2001, le nouveau conservateur du musée des Beaux-Arts d'Agen.

synthese beaux art

Fondé en 1876, situé au cœur historique de la Ville, le musée est logé dans quatre superbes hôtels particuliers de la Renaissance, ouverts sur de belles cours intérieures. Il est « l’un des musées les plus riches du Sud-Ouest » et présente, dans un agréable parcours évoquant l’intérieur d’un riche collectionneur, un ensemble de peintures et de sculptures, de meubles et de faïences européennes du Moyen Âge au XIXe siècle. Les collections du Musée offrent un large panorama de l’histoire de l’art, de la préhistoire au XXe siècle.

Les collections 

Peinture 

Autoportrait de Francisco Goya, 1783.
Le musée est particulièrement réputé pour son riche ensemble d’œuvres espagnoles des XVIIIe et XIXe siècles, parmi lesquelles cinq exceptionnels tableaux de Francisco Goya légués par le comte de Chaudordy (1826-1899), ambassadeur de France en Espagne, dont le plus célèbre est l'Autoportrait de 1783. Les autres tableaux de Goya légués par le comte sont une Messe de Relevailles, une scène fantastique intitulée Caprices, l'esquisse du portrait équestre de Ferdinand VII et Le Ballon.
Parmi les autre oeuvres remarquable de la collection, on trouve pour le XVIe siècle un tableau de Domenico Tintoretto ainsi que des œuvres de Corneille de Lyon et de l'école des Clouet. il faut citer pour le XVIIe siècle l'ensemble remarquable de natures mortes flamandes, hollandaises et françaises (Jan Davidsz de Heem, Pieter van Noort, Pierre Dupuis) ainsi que des peintures françaises et italiennes avec des œuvre d'artistes tels que Philippe de Champaigne (Vierge et enfant Jésus et Portrait présumé d’Étienne Delafons), Bernardo Strozzi (Le Géomètre) et Giovanni Battista Lama (Loth et ses Filles et Salomon adorant les Idoles, acquis en 2008). Le XVIIIe siècle est bien représenté notamment grâce à la collection de peintures des ducs d’Aiguillon, et compte des tableaux de Charles de la Fosse, Pierre Subleyras, Jean-Baptiste Oudry, François-Hubert Drouais (Madame du Barry), François de Troy, Jean-François de Troy (Le Jeune Comte de Toulouse et Le Jugement de Pâris), Charles Amédée Philippe van Loo, Jean-Marc Nattier... ainsi que des œuvres de Jean-Baptiste Greuze (Tête d'enfant), Hubert Robert (Scène autour d’un puits) et Giandomenico Tiepolo (Le Jeune Page).
Le XIXe siècle français est représenté par des grands maîtres de la peinture réaliste comme Courbet, par les paysagistes de l’École de Barbizon comme Jean-Baptiste Camille Corot (Étang de Ville-d'Avray, vers 1865) et Jean-François Millet ainsi que par les peintres de l'école de Crozant et les impressionnistes avec des œuvres de Johan Barthold Jongkind, Eugène Boudin, Armand Guillaumin, Alfred Sisley, Gustave Caillebotte (Le Plongeur) ou encore Albert Lebourg et Henri Lebasque.
Pour le XXe siècle sont présentées deux fonds remarquables : du peintre français Roger Bissière d’une part, et de Claude Lalanne et François-Xavier Lalanne, d’autre part. On trouve aussi une œuvre pointilliste de Francis Picabia.

Archéologie [modifier]

La section archéologique du Musée est constituée d'objets provenant de sites lot-et-garonnais : la collection des époques celtique et gallo-romaine en constitue un des aspects majeurs. En 2000, la donation Camille Aboussouan est venue enrichir le musée,d'une très belle dotation d’archéologie orientale (objets de l’Âge du bronze jusqu’à l’époque des Croisades, provenant du Liban et de Syrie.

castorama

nous sommes partie le jeudi 23 mai l après midi nous avons visiter les differente partie deco; brico; bati; jardin et la partie technique nous avons parler avec trois personne différente qui nous a parler de leur étude est de ce qui fessait chez castorama

Le magasin a ouvert en 1996 et a été rénové en 2000.
Il y a 119 personnes employés dans le magasin dont 85% destinée à la vente.
Le magasin est ouvert de 8h à 20h.
Il y a 23 chef de rayon.Puis la personne au-dessus de cette personne est le chef de secteur puis le directeur.
Leur collection de la partie déco est acheté en  Chine avec un budget de  1M200 euros.
Il y a plusieurs secteurs:
_le secteur sanitaire
_le secteur aménagement
_le secteur technique
_le secteur électro-portatif

Eric 32ans embauché en 2007 pour être conseiller  de vente puis est passé en 2009 chef de secteur.Castorama est une boite acheter par des anglais

cafe launay

Depuis la reprise de Café Launay en 2001, José Mateo saisit les tendances du marché afin d’assurer la pérennité de cette entreprise créée en 1814 à Villeneuve-sur-Lot (transférée au Passage d’Agen en 2005). Ce torréfacteur indépendant investit sur le marché en plein essor du café en dosette souple.

José Mateo a saisi l’opportunité du rachat de Café Launay alors qu’il était salarié commercial depuis six ans dans l’entreprise. Il a depuis opéré de grands changements dont la diversification de la clientèle et l’élargissement de l’offre. Entre 2001 et 2009, la production par an de café est passée de 35 à 200 tonnes. Le cœur de l’activité demeure la vente de café moulu ou en grain (250 g, 1 kg ou palette). Café Launay propose également aux entreprises la mise à disposition gratuite, la vente ou la location de distributeurs automatiques de café frais (en grains), avec un service après-vente. Les clients se répartissent ainsi aujourd’hui : 30% CHR (cafés-hôtels-restaurants), 30% grossistes, 20% grande distribution et 10% réseau d’entreprises. Les 10% restants sont réalisés par la boutique de dégustation de la zone d’activités de Beauregard. Ouverte à tous, elle réunit une sélection de grands crus et plus de 60 thés. Une deuxième boutique a ouvert ses portes à Moissac (82) le 1er décembre 2009.

Une fabrication sur mesure

Le marché du café moulu est en perte de vitesse alors que celui des dosettes, qui représente déjà 40% du linéaire, est en pleine expansion. Stratégiquement, José Mateo a donc décidé de concentrer ses investissements sur la fabrication du café en dosette souple (le brevet d’une célèbre marque est tombé dans le domaine public). Ce café conditionné dans du papier filtre 100% recyclable est aussi appelé PAD (ne pas confondre avec le café en capsule POD). Depuis plusieurs mois, Café Launay collabore avec une entreprise partenaire pour concevoir une machine à fabriquer ces dosettes avec un double objectif. A court terme de réaliser ses propres produits très performants en terme de coût, sans recourir à des industriels. A moyen terme de travailler en sous-traitance à façon pour des PME, en adaptant les volumes à leur demande. Pour qu’une dosette exprime un maximum d’arômes, un savant équilibre entre la torréfaction, la quantité de café et la mouture s’impose. Après plusieurs mois de recherche et la validation des tests fin 2009, la livraison de cette machine sur mesure est planifiée début 2010. Une gamme de café en dosette PAD, avec 3 ou 4 références, sera ensuite commercialisée sur le grand Sud-Ouest. Lancement à suivre… nous nous somme bien amuser merci le cafe launay

jeudi 25 avril 2013

macdo visite

aujourd'hui nous sommes aller a mac do pour visiter nous avons parler avec le manager du macdo qui nous a parler des différent métier qu il y avait comme manager sous directeur etc il y a 60 employer est 1 millions d euro il a fait des étude de hostellerie on n est pas obliger a faire des étude pour entrer au mac do les avantage sont on n est nourrit par le mac do et les heures con fait les  qualités nécessaire travail d équipe est beaucoup de dynamisme est de qualités il faut  il faut gérer 15 a 20 personne il verifie la qualités de la nourriture Les inconvéniants , si il y en a , c'est l'odeur des frites , donc très léger .
Tous les métiers du Mac Do sont mixtes , à ce Mac Do , il y a autant de filles que de garçons , se qui montre que c'est équitablement et qu'il n'y a pas de préjugé ou autres .
Pour les mutations ou les déplacements , on n'est pas muté sauf au cas ou l'on veut demenager , puis les déplacements il n'y en a pas beaucoup, c'est surtout pour une formation sinon tout ce fait sur place .
On peut travailler de nuit , et l'on a beaucoup de rapports humains .
Pour un étudiant qui travaille l'été ou autres , pour 60 heures on gagne le SMIC .
Il n'y a pas d'études pour arriver la , il faut monter les échelons
Son métier consiste à gérer 15 à 20 personnes pendant une durée , pour surveiller leur objectif prioritaire , qui est la sécurité alimentaire .
Pour un Mac Do qui n'est pas créé par Mac Donald France , il faut payer la franchise en plus du restaurant pour pouvoir obtenir l'enseigne Mac Donald . Le coût du restaurant monterait donc à 1 000 000 d'euros .
Au niveau de la géolocalisation , Mac Donald veut servir 1 Mac Do pour 10 000 personnes .
Les principales qualités que doit avoir le manager sont le travail d'équipe , le dynamisme et surtout , l'organisation .
Les principaux avantages sont que quand on travaille au Mac Do , de jour ou de nuit , à la fin du service nous sont offerts les repas , ensuite les horaires peuvent être personnalisés .
Les inconvéniants , si il y en a , c'est l'odeur des frites , donc très léger .
Tous les métiers du Mac Do sont mixtes , à ce Mac Do , il y a autant de filles que de garçons , se qui montre que c'est équitablement et qu'il n'y a pas de préjugé ou autres .

mc donalds

Mc Donalds est une chaîne de restauration rapide créée en 1955 aux Etats-Unis. Partis d'un stand de hot-dogs en 1937, ses créateurs ont réussi à en faire une multinationale qui est devenue la marque de restauration rapide la plus connue au monde, présente dans 117 pays. Sous son logo, un grand M jaune, Mc Donalds propose des restaurants ou un drive-in, et son menu se compose de divers hamburgers, frites, sodas, glaces et salades à emporter ou à consommer sur place. Elle est présente en France depuis 1979 et y compte à présent plus de 1200 restaurants.    










mardi 23 avril 2013

DRH

responsable des ressources humaines

Le chef du personnel plus ou moins militaire d'antan a fait place à un stratège des ressources humaines, soucieux de développer les compétences des salariés. Un poste de management confié à des professionnels très qualifiés


bac + 6




Accès au métier

À la croisée des formations
De nombreuses filières mènent au métier de responsable RH touchant à la fois au droit social, à la gestion et à l'économie, à la psychologie... De plus en plus, on exige un diplôme de niveau bac + 5, indispensable à un poste aussi stratégique. Mais le diplôme suffit rarement. Rappelons qu'une expérience à un poste d'assistant ou de chargé de recrutement est en général exigée.
  • De nombreux masters en ressources humaines sont accessibles après une licence en droit ou en psychologie, ou encore après un IEP (sciences politiques). Citons par exemple le master du CIFFOP de Paris 2 ou celui de Lille 1. Mais attention : ces diplômes, très sélectifs, recherchent des candidats motivés, capables de mener une amorce de réflexion sur des problèmes de ressources humaines. Le fait d'avoir auparavant effectué un stage en entreprise est incontournable, encore faut-il y avoir abordé certains aspects de la fonction.
  • Les écoles de commerce, elles aussi, préparent à la fonction d'assistant. Certaines comme Audencia à Nantes proposent des spécialisations en ressources humaines en 3e année. Un profil recherché, surtout si la formation commerciale fait suite à une licence en droit.


castorama

Fondée en 1969 par l’entrepreneur Christian Dubois, la société Castoramaest une chaîne de magasins de bricolage et de décoration. A l’époque de sa création, l’entreprise repose sur un modèle économique innovant. Il s’agit de fournir le matériel nécessaire aux particuliers qui souhaitent réaliser de petits travaux de rénovation ou de décoration dans leur habitat. Le slogan de la marque « Castorama, c'est castoche » reflète le positionnement de la marque qui s’adresse essentiellement aux bricoleurs amateurs. Castorama a été racheté par le groupe Kingfisher, à l'exception de la filiale italienne acquise par Leroy Merlin en 2008.

  • Lundi
    • de 08:00 à 20:00
  • Mardi
    • de 08:00 à 20:00
  • Mercredi
    • de 08:00 à 20:00
  • Jeudi
    • de 08:00 à 20:00
  • Vendredi
    • de 08:00 à 20:00
  • Samedi
    • de 08:00 à 20:00
  • Dimanche
    • Fermé


Dans votre magasin CASTORAMA Agen tout est pensé pour faciliter vos achats et votre choix. Parce que chaque client est unique, toute l’équipe du magasin sera heureuse de vous accompagner et de vous guider dans la réalisation de vos projets. Venez découvrir les idées déco, brico, bâti, jardin et inspirez-vous par des présentations régulièrement renouvelées. Choisissez, emportez, installez, profitez... Aménagez votre maison avec castorama, c'est castoche ! A très bientôt, Le directeur CASTORAMA Agen

 


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  • La livraison à domicile
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    Financement
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maison de retraite

nous sommes partie le jeudi 18 a la maison de retraite de pompery qui compte deux bâtiment. Le bâtiment C qui est composer de gens valide ,de gens qui ne peuvent pas se débrouiller tout seul il y a 80 lit ce bâtiment C qui est pour les gens valide .Le bâtiment B qui est la pour les gens invalide qui est atteint de l Alzheimer il ne peuvent pas se déplacer il y a 100 a 120 personne est 3 roulement pour 190 patient cette maison de retraite est public 

mardi 9 avril 2013

medecin generaliste

médecin généraliste

Qu'il traite une grippe ou prescrive un examen, le généraliste prend en charge ses patients dans leur globalité (habitudes, hygiène de vie, antécédents) et les suit le plus souvent sur une longue période. Médecin traitant, il assure la coordination avec ses confrères spécialistes.

Le métier

Nature du travail

Diagnostic et traitement
Polyvalent, le médecin généraliste accueille toutes sortes de patients (du bébé à la personne âgée) et traite des pathologies variées (angine, hypertension, entorse...). Dans son cabinet ou en visite à domicile, la consultation suit un rituel : entretien avec le patient sur ses troubles (fièvre, douleurs...), suivi d'un examen clinique durant lequel le médecin prend la tension, écoute le coeur, palpe les ganglions... Une fois le diagnostic posé, il prescrit des médicaments - en expliquant leurs effets - ou des examens complémentaires (prise de sang ou radio). Il peut effectuer certains soins lui-même (pansements, injections), pratiquer des actes de gynécologie, de pédiatrie ou de petite chirurgie (sutures). Dans d'autres cas, il réoriente vers des médecins spécialistes.
Suivi et prévention
Au-delà de l'action ponctuelle, le généraliste est souvent l'interlocuteur médical qui a la vision la plus complète du patient, ce qui permet un suivi efficace et coordonné. Souvent choisi pour être le médecin traitant (de toute la famille), il connaît bien ses patients et leur environnement (hygiène de vie, habitudes ou antécédents familiaux). Ce qui l'aide à comprendre leurs maux. Enfin, la prévention constitue l'un de ses axes prioritaires : bilan de santé, dépistage ou vaccinations.

Compétences requises

Un savoir très large
Le généraliste, par définition, doit avoir des connaissances médicales très étendues pour dépister les affections de ses patients. Grippe, entorse ou pathologie plus lourde : il a pour vocation de tout soigner. De plus, comme tous les médecins, il est « étudiant » toute sa vie car il doit se tenir au courant des évolutions de la médecine.
Une endurance à toute épreuve
Outre ses compétences médicales, le médecin généraliste possède des capacités d'endurance, aussi bien physiques que psychiques. Face à des pathologies en tout genre, équilibre personnel et sens de l'observation sont des qualités indispensables. Pour exercer ce métier complexe, il faut, en plus d'être résistant, savoir faire preuve de compréhension et de tact.
Respectueux des bonnes pratiques
Intervenant tantôt dans l'urgence avec sang-froid, tantôt dans la durée avec patience, ce praticien est pleinement responsable des actes qu'il dispense. Soumis à un code de déontologie, il est tenu au secret professionnel. Sauf exceptions (actes de violence, épidémies...), il sait rester discret à propos de l'état de santé de ses patients.


Lieux d’exercice et statuts

Libéral ou salarié
La plupart des généralistes s'installent à leur compte, seuls ou à plusieurs. Il leur arrive d'assurer des vacations (quelques jours par mois en maison de retraite, par exemple), en plus de leurs consultations privées. Les autres sont salariés au sein d'un hôpital, d'une administration ou d'une collectivité territoriale. Certains choisissent d'exercer dans le domaine des soins non curatifs : médecine scolaire, laboratoires ou expertise (assurances, mutualité). Ils ne sont alors pas habilités à prescrire un traitement. Il est aussi possible d'intégrer les services de santé de l'armée. Des missions existent aussi du côté des associations humanitaires.
Un emploi du temps chargé
Le médecin généraliste compte rarement son temps de travail, surtout quand il gère son propre cabinet. En moyenne, il effectue 50 heures par semaine, à raison de 20 à 30 consultations par jour. Peuvent s'y ajouter des gardes de nuit ou de week-end, notamment en début de carrière. Et, s'il est à la campagne, il faut ajouter le temps passé sur les routes pour se rendre chez les patients.
Ouvert sur d'autres spécialités
Le généraliste s'inscrit dans une chaîne de soins et collabore avec d'autres professionnels de santé : chirurgien, radiologue, masseur-kinésithérapeute, infirmier ou technicien de laboratoire médical. Dans la foulée de son diplôme d'État ou au cours de sa carrière, il peut se spécialiser : en médecine d'urgence, gériatrie, nutrition...


Salaire du débutant
Le revenu d'un médecin généraliste est très variable selon la région où il exerce et le mode d'exercice choisi.

Intégrer le marché du travail

Un avenir prometteur
Avec plus de 200 000 médecins en exercice, la France n'a jamais compté autant de docteurs. Parmi eux, 40 % sont généralistes. Avec l'accroissement et le vieillissement de la population, les nombreux départs à la retraite et la pénurie de médecins dans certaines régions, les perspectives d'emploi semblent favorables. À condition de s'installer là où les besoins se font sentir. En clair : plutôt à la campagne et dans certaines banlieues défavorisées où les besoins explosent. Beaucoup de grandes villes, l'Ile-de-France, l'Alsace et le sud de la France sont, au contraire, surdotés.
Des vacations pour commencer
Achat et équipement du cabinet, constitution d'une clientèle : s'installer coûte (très) cher. Aussi, le plus souvent, les jeunes s'associent ou assurent les urgences médicales (la nuit, le week-end). Autre façon de débuter : les remplacements, qui peuvent s'effectuer dans un cabinet, une clinique, un hôpital ou une administration (PMI - protection maternelle et infantile, médecine du travail...). Mieux rémunérés, réguliers, exempts de charges administratives..., certains jeunes font même de ces remplacements un choix de carrière.
Certains optent pour l'exercice à l'hôpital où ils ont le statut de praticien hospitalier et non pas fonctionnaire.
De nouvelles pratiques
Pour combattre la désertification médicale, de nouveaux modes d'exercice sont encouragés, comme la pratique en maisons pluridisciplinaires associant sur un même site des médecins libéraux, des kinés, des infirmières. Ou encore la télémédecine.

Accès au métier

Avant de prononcer le serment d'Hippocrate, 9 ans sont nécessaires pour former un médecin généraliste. Des études longues à l'université, qui débouchent sur le diplôme d'État de docteur en médecine. Le cursus se déroule en quatre grandes étapes :
- La PACES (1re année commune aux études de santé) constitue le premier barrage. Elle se termine par un concours au nombre de places restreint (20 % d'admis). Profil recommandé : un bac S, si possible avec mention.
- Les 2e et 3e années : enseignement des bases théoriques de la médecine et premiers stages hospitaliers. En fin de 3e année, obtention du diplôme de formation générale en sciences médicales, niveau licence.
- Les 4, 5e et 6e années : acquisition d'une formation médicale complète et de plus en plus de pratique hospitalière. A la fin de la 6e année, l'étudiant passe l'ECN (examen classant national). Le choix de la spécialité et/ou de la région où il effectuera son internat dépend de ses résultats et de son rang de classement.
- L'internat : d'une durée de 3 ans, il constitue une plongée dans le métier. Il se conclut par une thèse qui permet l'obtention du diplôme d'État de docteur en médecine.
Niveau bac + 9
  • DES médecine générale
  • Diplôme d'État de docteur en médecine

Après BAC

bac + 9 et plus



infermiere

infirmier(ière)

L'infirmier soigne les malades et veille à leur bien-être. Ce métier à haute responsabilité exige rigueur, vigilance et technicité. À l'hôpital, en entreprise ou en libéral, toutes les formules offrent d'excellents débouchés professionnels.

Le métier

Nature du travail

Prévenir, guérir et soulager
L'infirmier effectue des soins de nature préventive, curative ou palliative pour améliorer, maintenir et restaurer la santé. Il collabore avec toute l'équipe soignante et participe au projet global de soin. Tenu au secret professionnel, il assure avec l'aide-soignant les soins d'hygiène, de confort et de sécurité du patient.
Sur prescription
La prescription médicale est le seul lien hiérarchique entre le médecin et l'infirmier. C'est-à-dire que l'infirmier n'intervient que sur ordre et avec l'accord du médecin. En aucune façon, il ne peut définir lui-même un traitement pour le patient. En revanche, il est chargé de surveiller les éventuels effets secondaires ou complications.
Gestion administrative
Surveillance des équipements, gestion des stocks de médicaments et des dossiers... autant de tâches dont l'infirmier doit s'acquitter. Il établit aussi les plannings de soins en fonction des prescriptions médicales. Par ailleurs, il peut organiser des rendez-vous auprès d'autres services (en radiologie, par exemple). Ou s'occuper des formalités d'admission des patients et rédiger les comptes rendus des visites du médecin dans le cahier des soins.

Compétences requises

Le sens du dialogue
Au sein de l'hôpital, l'infirmier est un maillon important de l'équipe médicale, car il a aussi une fonction d'observation et de dialogue avec le patient. Il recueille des informations pour une prise en charge adaptée. Cela lui permet d'être à l'écoute, de rencontrer les familles, d'assurer un accompagnement et un soutien psychologique.
Une santé de fer
Un bon équilibre et une grande résistance physique sont indispensables. Par ailleurs, la capacité à s'organiser et à analyser rapidement une situation sont des atouts pour s'épanouir dans ce métier. Sur le plan psychologique, la maturité et la capacité à prendre du recul permettent de côtoyer la maladie et la mort en se préservant le mieux possible sur le plan personnel.
Une vigilance élevée
L'infirmier doit savoir interpeller le médecin lorsqu'il identifie une anomalie ou une prescription atypique, afin d'en obtenir confirmation. Cela constitue une des difficultés majeures de la profession. Il doit être en mesure de comprendre chaque prescription pour en déterminer les risques et les surveillances. Ce diagnostic infirmier est complémentaire du diagnostic médical et ne s'y substitue en aucune manière


Lieux d’exercice et statuts

Astreintes et rotations
Dans un cadre hospitalier, les soins sont assurés 24 h sur 24. Le travail est organisé par rotation des équipes, sur la base de 35 h par semaine. Ces astreintes sont une des caractéristiques du métier d'infirmier. Les contraintes d'horaires sont cependant assez différentes selon le lieu de travail : hôpital, centre médico-social, dispensaire, Samu social, association, collège-lycée, entreprise...
Surtout à l'hôpital
On compte environ 515 000 infirmiers dont presque 75 % sont salariés d'un établissement de santé public ou privé. Dans ce cadre, le travail s'effectue toujours en équipe, l'infirmier organisant celui des aides-soignants placés sous sa responsabilité.
Dans d'autres structures
Quand il n'est pas salarié dans un hôpital ou une clinique privée, l'infirmier coordonne et dispense des soins dans des structures diverses : maisons de retraite, centres de réadaptation, centres anti-cancéreux ou de soins palliatifs, centres de santé au travail ou de santé scolaire...
En libéral
Enfin, après un temps d'exercice en qualité de salarié à l'hôpital, l'infirmier peut exercer en libéral pour tout ou partie de son temps de travail. Actuellement, environ 13 % des infirmiers ont fait ce choix

Salaire

Salaire du débutant
1551 euros brut par mois.

Intégrer le marché du travail

Plein emploi assuré
La profession bénéficie de conditions d'accès à l'emploi très favorables. Le taux de chômage est l'un des plus faible de tous les métiers. Près de la moitié des infirmiers nouvellement diplômés exercent dans un service public de soins et santé.
Évoluer en se spécialisant
Avec une expérience professionnelle de 4 ans, l'infirmier peut préparer le diplôme de cadre de santé et occuper un poste d'encadrement ou de formateur dans un Ifsi (institut de formation en soins infirmiers). Après réussite à un concours, il lui est aussi possible de se spécialiser pour devenir infirmier de bloc opératoire, infirmier-anesthésiste ou infirmier-puériculteur.
Des aides pour l'installation en libéral
Après quelques années d'exercice, les infirmiers peuvent s'installer en libéral. En zones sous-équipées en professionnels de santé, cette démarche est encouragée par des aides ciblées (locaux professionnels et diverses facilitations). Enfin, tout au long de leur carrière, les infirmiers bénéficient de formations professionnelles leur permettant de maintenir leur niveau de connaissances et de diversifier leurs savoirs et leurs compétences (soins palliatifs, ostéopathie, hospitalisations à domicile...)

Accès au métier

Pour exercer ce métier, il faut obtenir le diplôme d'État d'infirmier, délivré par les Isi (instituts de formation aux soins infirmiers).Le diplôme d'État est désormais reconnu au niveau bac + 3. Les auxiliaires de puériculture et les aides-soignants justifiant de 3 ans d'expérience peuvent se présenter à un examen d'admission spécifique et bénéficier d'une dispense de certaines unités de formation.
Niveau bac + 3
  • Diplôme d'État d'infirmier

Après BAC

bac + 3


aide soignant.

aide-soignant(e)

Parmi le personnel de santé, l'aide-soignant est sans doute le plus proche des personnes hospitalisées. Il assure l'hygiène et le confort des patients. Il apporte aussi son soutien aux personnes dépendantes pour toutes les tâches de la vie quotidienne, à domicile ou en centres d'accueil.

Le métier

Nature du travail

Un assistant
Sous la responsabilité de l'infirmier, l'aide-soignant s'occupe de l'hygiène et veille au confort physique et moral des malades. Au quotidien, il aide les patients à effectuer leur toilette et à s'habiller. Certains malades doivent rester à jeun avant une opération, d'autres suivent un régime particulier. Il vérifie donc les consignes avant de préparer les chariots de repas.
Un accompagnant
L'aide-soignant accompagne dans leurs déplacements les personnes privées d'autonomie. Il les aide à s'asseoir, à se nourrir, à sortir de leur lit. Son travail s'étend à certaines tâches d'entretien comme le changement de la literie et du linge, ainsi que le nettoyage et le rangement des chambres et des espaces de vie.
Des soins limités
Contrairement à l'infirmier, l'aide-soignant ne donne pas de médicaments et n'effectue pas de soins médicaux. Installer une perfusion ou prendre la tension d'un malade ne rentre pas dans ses attributions. En revanche, il participe à d'autres soins. Par exemple, la prise de température des patients, la surveillance d'une courbe de poids ou certains changements de pansements.

Compétences requises

Aider physiquement le patient
Le travail d'aide-soignant requiert résistance, force physique et délicatesse. Pour aider un malade à se repositionner dans son lit, pour l'aider à se lever ou à se déplacer, lorsqu'il est très affaibli ou sous perfusion, par exemple.
Communiquer et écouter
Trouver les mots justes pour apaiser un malade angoissé avant une intervention chirurgicale, pour persuader un enfant de s'alimenter ou pour informer ses collègues... la capacité à communiquer de l'aide-soignant est primordiale. Sans oublier une bonne dose de patience, de tact et un certain sens de l'écoute.
Se montrer disponible
L'aide-soignant sait se rendre disponible et faire preuve d'initiative tout en s'impliquant dans un travail d'équipe. Souvent confronté à des personnes en souffrance, il doit aussi être doté d'un solide équilibre psychologique.

Lieux d’exercice et statuts

Au sein d'une équipe
L'aide-soignant travaille principalement dans des établissements hospitaliers, des résidences pour personnes âgées ou des crèches. Il fait partie d'une équipe médicale regroupant d'autres professionnels de la santé, avec lesquels il collabore : médecins, sages-femmes, infirmiers, kinésithérapeutes...
Un sens aigu de l'observation
Parce qu'il travaille au contact quotidien des malades, l'aide-soignant est le premier témoin des changements ou des améliorations dans l'état des patients : de précieuses observations qu'il transmet ensuite à l'équipe médicale.
De jour comme de nuit
Le travail est organisé par rotation des équipes, souvent sur 4 jours avec des permanences le week-end et les jours fériés. Certains ne travaillent que la nuit.
Des soins chez le patient
Lorsqu'il est salarié d'un centre de soins communal ou d'un centre associatif, l'aide-soignant exerce directement au domicile des malades, effectuant ainsi de nombreux déplacements.


Salaire

Salaire du débutant
Smic.

Intégrer le marché du travail

Des perspectives favorables
Le métier compte 320 000 professionnels. Il est accessible aux garçons comme aux filles. Chaque année, 10 000 postes se libèrent en France. Les perspectives d'emploi sont favorables. Les débouchés dans les hôpitaux restent importants, et l'allongement de la durée de la vie devrait créer de nouvelles opportunités dans les centres accueillant des personnes dépendantes.
Évoluer grâce aux concours
Après 3 ans d'exercice dans le secteur hospitalier ou médico-social, un aide-soignant peut se présenter à l'examen d'admission aux écoles d'infirmiers et être dispensé de certaines unités d'enseignement. Par ailleurs, les titulaires du diplôme d'État sont dispensés d'une partie de la formation d'auxiliaire de puériculture s'ils envisagent de préparer ce diplôme. Certains concours de la fonction publique (ceux des hôpitaux des armées ou de la préfecture de police) sont également accessibles.


Accès au métier

Le diplôme d'État d'aide-soignant se prépare en un an, au sein d'écoles spécialisées.Le concours d'entrée à ces écoles est accessible sans diplôme préalable. Néanmoins, les candidats déjà titulaires d'un diplôme de niveau bac, ou ayant suivi une 1re année d'études d'infirmier, et n'ayant pas été admis en 2e année, peuvent être dispensés des épreuves écrites d'admissibilité.
Après la 3e
  • Diplôme d'État d'aide-soignant
Niveau bac
  • Bac pro accompagnement, soins et services à la personne option à domicile ou en structure

Jusqu’au Bac

CAP ou équivalent

pompeyrie

Maison de retraite de Pompeyrie , Maison de retraite publique d'une capacité de 184 lits pouvant accueillir des personnes Semi valide, Dépendant, Alzheimer, Désorienté, avec un tarif d'hébergement à partir de 34,93 € par jour.


n à Pompeyrie : les Soins de Longue Durée ; la Maison de Retraite ;
Le Centre Gérontologique de Pompeyrie est un EHPAD (Etablissement d’Hébergement pour
Personnes Agées Dépendantes) : 182 lits (bâtiment B = 98 lits et bâtiment C = 84 lits).
Le règlement de fonctionnement précise les dispositions particulières sur le fonctionnement du
Centre Gérontologique de Pompeyrie en complément du règlement intérieur du Centre Hospitalier
d’Agen.
Vous venez d’arriver dans notre centre de gérontologie.
L’ensemble de l’équipe vous souhaite un bon séjour.
L’équipe paramédicale
n Les infirmières à Pompeyrie B
Tél. 05 53 69 75 01
(Téléphoner de préférence de 10 h à
13 h et de 15 h à 19 h)
n Les infirmières à Pompeyrie C
Tél. 05 53 69 75 02
(Téléphoner de préférence de 9 h 30
à 12 h et de 16 h à 19 h)
Les infirmières et les aides-soignantes
sont présentes pour assurer les soins,
votre confort et répondre à vos besoins.
L’équipe paramédicale est présente
24 heures sur 24 et 7 jours sur 7.
n Le service de kinésithérapie :
- La kinésithérapeute
et
- L’ergothérapeute
prennent en charge les soins de
rééducation et de réautonomisation
du lundi au vendredi.
n La psychologue apporte un soutien
aux résidents et aux familles.
n Diététicienne
n Dentiste
n Unités mobiles : douleur, soins




Les résidents peuvent faire appel, après accord du cadre de santé, à la coiffeuse de leur choix pour se faire
coiffer en chambres et sous réserve que celle-ci soit bien inscrite à la chambre des métiers et titulaire d’une
assurance professionnelle.
n Le linge
Un trousseau est demandé à l’entrée du résident, il doit être identifié au nom de la personne. L’entretien du linge
est assuré par les familles. Le nécessaire de toilette doit être renouvelé régulièrement. Les protections pour
l’incontinence sont fournies par l’établissement et incluses dans le forfait dépendance.
n Le parc de Pompeyrie
Ce parc vous offre un cadre agréable, vous pourrez vous y promener avec votre famille et vos amis.
n Les équipes bénévoles
Des visiteuses de malades viennent régulièrement.
L’association « Alliance » vient dans le cadre d’une convention de partenariat.
n Les loisirs
L’animatrice chargée des activités est soutenue par des bénévoles de l’association Beau Soleil. Toutes les
animations sont annoncées par affichage dans chaque bâtiment.
n Le tabac
Pour des raisons de sécurité et de respect des dispositions légales, il est strictement interdit de fumer dans les
lits, les couloirs et tous les lieux clos et couverts de l’établissement. Afin de se prémunir contre le risque d’incendie,
il est déconseillé de fumer dans les chambres. Des dérogations pourront être accordées sur avis médical.



de baudre

                                                    synthèse de baudre




nous sommes partie le 5 avril de dangla avec l odp3 pour aller a de baudre nous somme arriver a l avance car nous sommes de très bon marcheurs .Nous somme arriver vers 8h 30 nous avons étés prie en charge M marc boutal qui nous a conduit dans le bâtiment de sti2d nous avons parler avec le professeur de itec qui nous monter les différent projet il y en n avait 7 au total .Nous avons étés prie en photos par les élevé .nous avons étés prie en charge par un élevé qui nous fait visiter les différente option est les différent  structure qu il y avait nous sommes aller manger au selfs la nourriture n était pas très bonne .Puis nous somme aller visiter une option .nous avons vue une station métrologique    L'après midi , nous avons été recu par un monsieur qui nous a dit quels baccalauréat ils faisaient .



Quelques élèves nous on ensuite montrer des objets , créer par eux meme , mis sur un logiciel (Catia , qui vaut 1million d'euros avec tous les addons , et 20000 "tout nu")  j aitout aimer tout ma plus mes pour moi je ne serait pas capable d aller en seconde général par contre la bouffe la bas était horrible mais merci de nous avoir reçus est merci de cette visite cela ma permit de voir les différente option est les cour que les prof organiser merci a touts

mardi 2 avril 2013

ENQUETE SUR LES METIERSEntreprise ou organisme :
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Adresse :
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Téléphone :
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Nom de la personne rencontrée :
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Poste occupé :
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Poste sur lequel porte l’enquête :
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CONDITIONS D’ACCES
Depuis combien de temps faites-vous ce travail ?
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Comment êtes-vous arrivé à ce poste ?
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Quelle formation avez-vous ?
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Y-a-t-il un diplôme exigé pour ce poste ? Si oui lequel ?
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Connaissez-vous les centres qui dispensent cette formation ?
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Si le recrutement se fait par concours, quelles sont les conditions et le niveau pour s' y présenter ?
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Selon vous, quelles qualités sont nécessaires pour exercer ce métier ?
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CONTENU DU POSTE
En quoi consiste le travail ?
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Pouvez-vous décrire l’ensemble des tâches ?
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Qu’est-ce qui vous a attiré dans ce métier, les aspects positifs ?
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Quelles sont les contraintes, les aspects plus difficiles ?
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S’agit-il d’un travail d’équipe ? Si oui, préciser.
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Etes-vous amené à travailler avec des professionnels extérieurs à l’entreprise ? Si oui, lesquels ?
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CONDITIONS DE TRAVAIL
Quels sont les horaires ?
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Combien d’heures de travail par semaine ?
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Le salaire pour un débutant ?
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Faut-il avoir une tenue particulière ?
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Pensez-vous qu’il y ait actuellement des débouchés ?
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Comment recrute l’entreprise ou l’organisme ( annonces, ANPE, …) ?
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Quels types de contrat propose-t-elle ?
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